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Mis à jour: 17 mai 2025
Dans l'été de 1796, M. Récamier avait loué d'une madame de Lévy le château de Clichy, tout meublé, et y avait établi sa jeune femme et sa belle-mère: lui-même venait y dîner tous les jours; il n'y couchait presque jamais, ses goûts, ses habitudes et ses affaires s'accordant pour le rappeler
«C'était au château de Clichy où Mme Récamier passait l'été: La Harpe y était venu pour quelques jours. On se demandait (ce que tout le monde se demandait alors) si sa conversion était aussi sincère qu'il le faisait paraître, et on résolut de l'éprouver. C'était le temps des mystifications, et on en imagina une qui parut de bonne guerre
Le hameau de Mousseaux ou Monceau, aujourd'hui englobé dans Paris, dépendait autrefois de la paroisse de Clichy. Le fermier général de la Reynière avait acquis la seigneurie de Monceau où il possédait le château de Belair. Le duc de Chartres en devint
Nous allons nous promener de ce train pendant une heure, et nous reviendrons par l'avenue de Saint-Ouen et la rue de Clichy. Au coin de la chaussée d'Antin on nous arrête, nous descendons lestement et nous sommes libres... Ceux qui nous suivraient, auraient de bonnes jambes.
Il fit poser Pertuiset en l'été de 1880, sous les arbres de l'Elysée des Beaux-Arts, boulevard de Clichy. La lumière tamisée donne bien en effet une ombre violette générale, qui recouvre le terrain et enveloppe le modèle. Pertuiset était un chasseur émérite. Il avait été l'ami de Jules Gérard, célèbre sous le second empire, comme le Tueur de lions, et avait en partie hérité de sa renommée, pour avoir tué lui-même plusieurs lions. Manet a eu l'idée de le placer un genou en terre, comme
Mardi 8 novembre. Une foire aux légumes, le long de l'avenue de Clichy, depuis la statue du maréchal Moncey jusqu'
Des jardins, rien que des jardins; irrégulièrement découpés du côté de Clichy et de Levallois, flanqués de terrains vagues, piquetés de maisonnettes ou de bâtiments industriels qui ont remplacé la cité des chiffonniers, foyer d'épidémies il y a une vingtaine d'années.
La rue de Clichy était encore, au milieu du XVIIIe siècle, un chemin qui conduisait des Porcherons
A Clichy, on déclamait comme ailleurs, et on ne faisait pas mieux, car si les passions étaient plus violentes, les moyens n'étaient pas plus grands. On regrettait surtout la police, qui venait d'être enlevée
[Note 52: Le jardin que Boutin avait créé dans le milieu de la rue de Clichy, en plein quartier de finance, et auquel on avait donné le nom de Tivoli, était le plus merveilleux que l'on eût encore vu: «Nous sommes allés avant déjeuner, dit la baronne d'Oberkirch dans ses Mémoires, visiter le jardin de M. Boutin, que le populaire a qualifié de Folie-Boutin et qui est bien une folie. Il y a dépensé, ou plutôt enfoui plusieurs millions. C'est un lieu de plaisirs ravissants, les surprises s'y trouvent
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