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Mis à jour: 22 juin 2025


Dans la division Sainte-Cunégonde, Prudent Poirier avait un concurrent redoutable dans la personne du chef de la Fédération Ouvrière, le mutualiste Charbonneau. Cet industriel, qui traitait mal ses ouvriers et les exploitait sans cesse, était arrivé

Pour s'en convaincre, il suffit de relire les deux ou trois numéros de la Revue parisienne publiée par lui en 1840, il étale bravement son exubérante personnalité. Ce recueil, dont il était l'unique rédacteur, semble n'avoir eu d'autre but que de le venger de ses rivaux et des malavisés qui se refusaient de le proclamer homme de génie. Le plus maltraité de tous, celui contre lequel il dirige toute l'artillerie et les foudres de sa colère, c'est Sainte-Beuve qui avait, en 1834, compris Balzac dans sa galerie des auteurs contemporains. Il est vrai de dire que le peintre a assaisonné les éloges de ce portrait d'une pincée de correctifs qui en corrompent singulièrement la douceur. Jamais il ne mérita mieux la définition que M. de Pontmartin a donné de lui dans les Jeudis de madame Charbonneau: «Il excellerait

Quant au mutualiste Charbonneau, dans la division Sainte-Cunégonde, il fouaillait d'importance, Prudent Poirier, dévoilant au grand jour tous les méfaits de l'industriel vert-galant. Devant des auditoires ouvriers, il démontrait que cet homme n'était qu'un vil exploiteur de la misère humaine, encaissant des bénéfices exorbitants et payant des salaires de famine

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