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Mis à jour: 18 juin 2025


D'Espagne lui venaient de sévères avertissements. Un envoyé extraordinaire de Philippe II, Don Juan Manrique de Lara, lui avait apporté, avec les compliments de condoléances sur la mort de François II, le conseil impératif de «ne permettre jamais aux nouveautés qui ont pris naissance dans son royaume d'y faire plus de progrès», de ne favoriser en aucune manière et de n'admettre jamais «dans sa familiarité aucuns de ceux qui ne sont pas fermes, comme ils devraient l'être, dans leur religion» . L'ambassadeur ordinaire Chantonnay, frère du cardinal Granvelle, guettait tous ses manquements et la harcelait de reproches. Elle s'excusait sur la nécessité, qui l'avait «conduite»

[Note 350: Ce récit de l'entrevue de la Reine-mère et de Chantonnay (Mémoires de Condé, t. II p. 601), n'a pas été vraisemblablement expédié

Une autre armée se forma également le 12 mars, du côté de Chantonnay. Dès les premiers jours elle fut commandée par des gentilshommes, M. de Verteuil, MM. de Béjarry et quelques autres. Ce fut de ce côté, dans le département de la Vendée, que les révoltés obtinrent d'abord les avantages les plus marqués; et de-l

Arrivée de M. Tinténiac. Seconde bataille de Luçon. Victoire de Chantonnay.

Les gardes nationales de Fontenay, sorties pour marcher sur Chantonnay, furent repoussées et battues, Chantonnay fut pillé. Le général Verteuil, qui commandait la onzième division militaire, en apprenant cette défaite, envoya le général Marcé avec douze cents hommes, partie de troupes de ligne, partie de gardes nationales. Les rebelles, rencontrés

Les armées républicaines pressaient chaque jour davantage les insurgés et s'avançaient dans le Bocage; les divisions de Chantonnay, de la Châtaigneraie et de Bressuire avaient fait leur jonction; Cérizais était occupé; on avait brûlé tout auprès le château de Puyguyon qui appartenait

Après la victoire de Chantonnay, tous les chefs étaient

Les républicains sortirent de Luçon; ils attaquèrent successivement le Pont-Charron et Chantonnay, toujours avec succès; ils prirent et ils égorgèrent M. Sapinaud de la Verrie. C'était une suite de revers dont on faisait le récit

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