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Mis à jour: 22 juin 2025
Ses cheveux blonds, légers et bouclés jouaient autour d'un front pur comme celui d'un adolescent. Ses tempes, larges et pleines, n'avaient point subi l'injure du ciel espagnol: c'était un Gaulois, un homme d'ivoire, et il fallait le mâle dessin de ses traits pour corriger ce que cette carnation avait d'un peu efféminé.
»En vérité, nulle expression ne saurait rendre l'émotion profonde, instantanée, qui s'empara de moi, quand elle parut dans l'encadrement des tentures, avec ses longs yeux noirs ombragés de cils qui tamisaient le regard, avec ses lignes sculpturales, et cependant animées d'une vie superbe, avec cette carnation idéale sous laquelle on sentait courir le sang chaud et puissant. On lui avait fait cortége comme
Elle avait des cheveux bruns plantés bas sur le front, un profil grec d'une pureté parfaite, une carnation superbe, des yeux bleus avec des cils foncés et des sourcils bien dessinés. Grande, forte, avec la poitrine très développée, elle eût porté plus de dix-huit ans si sa bouche, malgré un arc un peu dédaigneux qui menaçait de trop s'accentuer plus tard, n'avait eu des mouvements enfantins dénotant une grande jeunesse. Sa démarche et ses gestes étaient lents, un peu nonchalants, toujours harmonieux sans aucune affectation. Un ami de M. de Pavol avait dit un jour en riant qu'
Le bistre de sa carnation et ses pendants d'oreilles en coquilles bleues de tiacomoshak seuls alors trahissaient son origine sauvage. Ouaskèma vingt ans. Son corps harmonieusement proportionné et dans la plénitude du développement, possédait des trésors de force, de souplesse et de gracieuseté. Elle se laissait voluptueusement considérer et ses regards enflammés mendiaient un regard d'amour.
L'hémorragie avait un peu pâli le Xavérien, sans pourtant que sa carnation fût devenue maladive. Le visage était calme, un souffle régulier et puissant soulevait sa poitrine. Il dormait sur le dos, la tête prise entre les mains jointes, ses coudes encadrant le visage, dans l'attitude des moissonneurs aux heures de sieste, lorsqu'ils ramènent sur les yeux le large chapeau de paillasson.
Hauteur, 1 P. 9 p°. 10 lig. Largeur, 2 P. 6 p°. On reconnaît, dans ce tableau, Hercule étouffant de ses bras vigoureux le lion redoutable de la forêt de Némée. Ses cheveux sont bruns et sa carnation bronzée; mais ses traits annoncent la jeunesse. Quoique cette circonstance puisse s'appliquer l'aventure du lion Cithéronien, il est cependant plus vraisemblable que le sujet de cette peinture est la victoire d'Hercule sur le lion Néméen. Le monstre était invulnérable, et le fils de Jupiter abandonna ses armes pour l'étouffer dans ses bras: cette particularité est exprimée dans la peinture par le groupe des armes du Héros, jetées
Lui aussi avait été gratifié d'un sobriquet. Ce n'était pas le premier: autrefois, dans son monde, Béjard, Saint-Fardier, Félicité et même Régina affectant de ne voir que la carnation trop montée de son visage l'avaient appelé le «Paysan». La populace avec laquelle il s'emboîtait
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