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La taille du carnassier est énorme. Son pelage, d'un roux foncé et luisant, est, malgré la longueur des poils, froncé de plis qui annoncent la maigreur. Ses prunelles ardentes, flamboyant comme des escarboucles, sa langue qu'il promène sur ses labiales, sa langue d'un rouge de sang, indiquent qu'il cherche une pâture.

En réalité Castelouze a l'oeil de l'oiseau de proie; son nez est busqué comme le bec de l'aigle; il a la dent blanche et pointue du carnassier; ses aptitudes morales ont modifié son physique; il a la tête fureteuse et des allures de limier; il ne marche pas, il quête; sa narine mobile semble prendre le vent. Quand il se pose, il tombe en arrêt, la tête allongée en avant, les épaules infléchies, les jambes légèrement ployées sur le jarret, les bras prêts

Lorsque le patagon prononça le mot «aguara», Glenarvan reconnut aussitôt le nom donné au loup rouge par les indiens de la pampa. Ce carnassier, le «canis-jubatus» des naturalistes, a la taille d

Mais si un loup ou n'importe quel autre animal carnassier se présente, oh! alors malheur

Et Michel, avec l'aide d'un de ses compagnons, emporta la jeune femme inanimée, dont le bras, atteint par les crocs du carnassier, saignait abondamment. Comme ils s'engageaient dans le parc, ils aperçurent le prince Serge qui arrivait d'un pas rapide. A la vue du fardeau porté par ces hommes, il s'élança, et les gardes s'arrêtèrent instinctivement, stupéfaits devant cette physionomie bouleversée.

Des quadrupèdes. Il y a peu de variétés dans les quadrupèdes. La nature, qui a prodigué tous ses bienfaits aux Philippines, n'y a point fait naître d'animaux féroces, et dans le genre carnassier on ne compte qu'une petite espèce, peu nuisible, comme on le verra.

Cet animal était un plantigrade qui ressemblait assez au glouton d'Amérique, un affreux carnassier, ramassé de torse, court de jambes, armé de griffes recourbées et de mâchoires formidables, les yeux durs et féroces, la croupe souple comme celle de tous les félins. «Quelle est cette horrible bête? demanda Mrs. Paulina Barnett.

Ses longs poils, clairsemés, presque aussi roux que la barbe du vieux trappeur, étaient couverts de givre et de glaçons ensanglantés. Il était facile de voir que la misérable bête avait soutenir, depuis peu, une lutte acharnée avec quelque carnassier.

Le cadavre d'où le morceau avait été arraché, reposant ainsi sur l'amarre, était aisément ébranlé par les efforts de l'oiseau carnassier, et c'étaient d'abord ces secousses qui nous avaient induits

Son front était bas, contracté par un froncement perpétuel. Un nez épaté et aplati, surmontait sa bouche, démesurément fendue, comme celle d'un animal carnassier. Le menton était court, le cou gros, les épaules larges. La vétusté et l'usure avaient rongé ses vêtements d'étoffe grossière. Pour compléter ce vilain portrait, le trappeur louchait.