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Mis à jour: 25 juin 2025
Burty, qui a passé la journée avec les gens de LA LIGUE, me confirme cet hébétement, ce fatalisme résigné des gens qu'il a vus, et dont beaucoup n'ont pas voulu rentrer
Mercredi 18 décembre. Aujourd'hui Burty, que je n'ai pas vu depuis des mois, m'apporte un catalogue qu'il vient de faire des peintures que Dumoulin a rapportées du Japon, et qui doivent être exposées, après-demain, chez Petit.
Vendredi 15 mars. Burty cause avec moi de la bêtise de Courbet, une bêtise qui arrive
Chez Burty, je rencontre Bracquemond, que ses trente-huit ans mettent sous le coup de la loi de la garde nationale. Il sort pour aller demander
Ce soir, chez Burty, le prince Sayounsi dit, que trois choses avaient étonné et charmé son goût japonais: les fraises, les cerises, les asperges.
Samedi 6 février. Un artiste, nommé Desboutin, que je ne connaissais pas, a apporté chez Burty, jeudi, deux ou trois portraits
Un moment d'interruption dans le bombardement. J'en profite pour quitter Burty et gagner la rue de l'Arcade. J'y trouve Pélagie, qui a eu la témérité de traverser toute la bataille,
Mme Burty, que je trouve seule, occupée nerveusement
Je rencontre Burty sur la place de la Madeleine. Nous nous promenons dans ces rues, sur ces boulevards, tout
Je tombe chez Burty, sur le vieux graveur Pollet, un japonisant frénétique, et qui est en train de dire: «Sur les 1 000 francs que j'ai pour vivre par mois, je paye 800 francs aux marchands de japonaiseries... c'est 200 qui me restent... mais j'ai des modèles qui me coûtent dans les 100 francs... donc 100 francs pour vivre... Ma foi, j'ai pris le parti de ne rien payer de mon vivant, je ne paye pas mon tailleur, je ne paye pas mon restaurateur... Il n'y a que mon cordonnier que je paye, parce que c'est un pauvre diable.»
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