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Mis à jour: 11 juillet 2025
Les rosiers, emmêlés aux rayons blancs du jour, Les dahlias, voilés de gouttes d'eau pesantes, Sont encore encerclés de guêpes bruissantes, Mais la rouille du temps les gagne tour
Un phénomène semblable se passe au Bois de Boulogne. Derrière ces allées sablées, arrosées et nettes, où des files de roues tournant lentement autour du lac tracent tout le jour un sillon sans cesse parcouru, machinal, derrière cet admirable décor de verdures en murailles, d'eau captive, de roches fleuries, le vrai bois, le bois sauvage, aux taillis vivaces, pousse et repousse, formant des abris impénétrables, traversés de menus sentiers, de sources bruissantes. Cela, c'est le bois des petits, le bois des humbles, la petite forêt sous la grande. Et Paul, qui, de l'aristocratique promenade parisienne ne connaissait que les longues avenues, le lac étincelant aperçu du fond d'un carrosse ou du haut d'un break
La géante nudité de ce vieillard aux reins ceinturés d'un haillon sombre, et dont l'ossature décharnée, flottante en une peau blanchâtre aux bruissantes rides, semblait lui être devenue étrangère, se détachait sur l'ensanglantement des lourdes draperies.
Et, porte désormais ceci dit-elle avec solennité, Et elle noua le houx autour de mon front; Les feuilles luisantes et les baies rouges Frémirent bruissantes; Et, comme une pensée passagère, s'envolant, Elle disparut dans la lumière.
Il est dans cet état de ravissement et d'allégresse divine où nous sommes tous entrés quelquefois, surtout parmi des paysages vastes et découverts, qui évoquaient en nous l'image de l'immensité et la beauté totale et la figure même de la planète, sur la montagne ou au bord de la mer lumineuse; quand nous descendions, dans l'air léger, presque délivrés du sentiment de la pesanteur, vers les vallées doucement bruissantes de l'invisible sonnerie des troupeaux; ou quand nous marchions l'été, dans une grande plaine, par un grand soleil, tout enveloppés de rayons et d'odeurs végétales. Dans ces moments-l
Le vent soufflait comme si c'eût été son dernier souffle; Les averses bruissantes montaient sur les rafales; Les ténèbres avalaient les rapides éclairs; Bruyant, profond et prolongé, le tonnerre beuglait: Cette nuit-l
En écoutant quelques-unes des Polonaises de Chopin, on croit entendre la démarche plus que ferme, pesante, d'hommes affrontant avec l'audace de la vaillance tout ce que le sort pourrait avoir de plus glorieux ou de plus injuste. Par intervalle, l'on croit voir passer des groupes magnifiques, tels que les peignait Paul Véronèse. L'imagination les revêt du riche costume des vieux siècles: épais brocarts d'or, velours de Venise, satins ramagés, zibelines serpentantes et moëlleuses, manches accortement rejetées sur l'épaule, sabres damasquinés, joyaux splendides, turquoises incrustées d'arabesques, chaussures rouges du sang foulé ou jaunes comme l'or; guimpes sévères, dentelles de Flandres, corsages en carapace de perles, traînes bruissantes, plumes ondoyantes, coiffures étincelantes de rubis ou verdoyantes d'émeraudes, souliers mignons brodés d'ambre, gants parfumés des sachets du sérail! Ces groupes se détachent sur le fond incolore du temps disparu, entourés des somptueux tapis de Perse, des meubles nacrés de Smyrne, des orfèvreries filigranées de Constantinople, de toute la fastueuse prodigalité de ces magnats qui puisaient le Tokay dans des fontaines artistement préparées, avec leurs gobelets de vermeil bosselés de médaillons; qui ferraient légèrement d'argent leurs coursiers arabes lorsqu'ils entraient dans les villes étrangères, afin qu'en se perdant le long des voies les fers tombés témoignent de leur libéralité princière aux peuples émerveillés! Surmontant leurs écussons de la même couronne, que l'élection pouvait rendre royale, les plus fiers d'entr'eux eussent dédaigné les autres. Ils portaient tous la même, comme insigne de leur glorieuse égalité, au-dessus de leurs armoiries, appelées le Joyau de la famille, car l'honneur de chacun de ses membres devait répondre de son intégrité. Aussi, particularité unique du blason polonais, avait-il son nom qui remontait d'ordinaire
O vous que j'ai aimée aux jours de ma jeunesse D'un sombre amour, O Forêt, vous étiez la soeur de ma tristesse Et son séjour! Lorsque le renouveau de vos feuilles naissantes Chantait au vent, Que l'Automne parait vos cimes bruissantes D'un or mouvant, Quand, fraîche d'espérance et lourde encor de gloire, Votre beauté Paraissait tour
De tous côtés, ce sont des descriptions en un seul vers: «La pâle lune se leva dans l'est livide ». «Les vents d'automne ondulent sur les blés jaunes ». «Adieu, cieux, maintenant brillants du large soleil couchant ». «Les nuages aux ailes rapides volaient sur le ciel constellé ». «Les ombres du soir se rencontrent en silence ». «Les averses bruissantes s'enlevaient sur la rafale, les ténèbres avalaient les brefs éclairs » «Pas une étoile ne regarde
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