Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 14 juin 2025
En même temps, l'isolement se faisait autour de lui. À un moment où, selon l'expression de Chambers, tout homme qui ne voyait pas la perfection dans la Constitution britannique était traité comme quelque chose qui valait
«Quelle fut l'attitude de l'Angleterre dans cette même question? Le jour avant ma conversation avec l'ambassadeur britannique, Sir Edward Grey avait prononcé au Parlement son discours bien connu, dans lequel, tout en ne disant pas expressément que l'Angleterre prendrait part
À ce discours, qui marquait la nouvelle position prise par le cabinet britannique
»J'ai reçu de lord Palmerston une communication de laquelle il résulte que quelques sujets de Sa Majesté Britannique ayant souffert en Portugal des insultes et des avanies que le gouvernement portugais a plutôt favorisées qu'arrêtées, le gouvernement anglais avait envoyé deux bâtiments de guerre avec ordre de demander des réparations et des indemnités. Dans le cas où elles ne seraient pas obtenues, le commandant de ces forces a été autorisé
Oh! beaucoup, répondit l'honorable gentleman, avec un accent britannique des plus prononcés, beaucoup depuis ce matin... le docteur craint quelque chose du côté de l'os... Et en même temps, obéissant
La beauté de la dame polonaise était allée droit au coeur du colonel Campbell: l'envoyé anglais soupirait et faisait assidûment parler ses soupirs. Ce fait n'est pas aussi futile qu'on pourrait d'abord le penser: il eut beaucoup d'influence sur le relâchement de la surveillance britannique. Nous croyons que l'Empereur lui avait donné une place dans sa combinaison.
Le représentant de l'Angleterre était sir William A'Court, homme réellement habile et fort, sorte de capacité ambulante que la prévoyance du cabinet britannique place et déplace toujours
Il faut souhaiter pour l'Angleterre et pour le genre humain que cette intoxication ne se prolonge pas et que la cervelle britannique soit bientôt débarrassée des manifestations délirantes de ce «jingoïsme» qui met
MM. de la Galissonnière et de Silhouette ne répondirent que le 4 octobre suivant par un mémoire extrêmement volumineux, précédé d'une introduction, et divisé en 20 articles. Dans cette pièce, ils commencent par citer textuellement les articles XII et XIII du traité d'Utrecht, et observent, qu'on n'a point vu depuis près de quarante ans qui se sont écoulés depuis la signature de ce traité, que la cour britannique, malgré plus d'une circonstance favorable, ait formé des prétentions pareilles
«L'alternative proposée d'une paix séparée, dans le cas où Sa Majesté n'agréerait pas les conditions d'un armistice général, loin de dévoiler un défaut de sincérité, fournit, au contraire, la preuve la plus forte des dispositions conciliantes du premier consul: elle est une conséquence nécessaire de la déclaration faite par le soussigné le 4 de ce mois. En effet, il a eu l'honneur de prévenir le ministère britannique que, si cet armistice n'est pas conclu avant le 11 septembre, les hostilités auront été recommencées avec l'Autriche, et que, dans ce cas, le premier consul ne pourra plus consentir,
Mot du Jour
D'autres à la Recherche