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Mis à jour: 27 mai 2025
Dans les romans et les drames du moyen âge écrits vers le milieu du XVIIe siècle, il n'est pas un gentilhomme qui ne brandisse une bonne lame de Tolède et ne la mette au service de sa dame ou du roi. Plus tard la réputation des poignards trempés au bord du Tage balança même celle des belles Andalouses, en corset noir, qui, le soir venu, passaient sur le pont de Tolède.
Si Clémenceau disait: «J'ai tué cette femme parce que je l'aimais», nous penserions: «C'est, après tout, une raison.» La passion a tous les droits, parce qu'elle va au-devant de tous les châtiments. Elle n'est pas immorale, quelque mal qu'elle fasse, car elle porte en elle-même sa punition terrible. D'ailleurs, ceux qui aiment disent: Je la tuerai! mais ils ne tuent pas. Mais Clémenceau n'allègue pas seulement son amour, il invoque la justice. C'est ce qui me fâche. Je n'aime pas que ce mari violent, et qui devint un amant, prenne des airs de justicier. Je n'aime pas qu'il brandisse comme l'instrument auguste des vengeances publiques, le couteau «
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