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Mis à jour: 26 juillet 2025
Mon père prit dans sa berline le fatal M. Lachèze, le capitaine Gault et moi. Le colonel Ménard, chef d'état-major, suivait avec un de ses adjoints dans une chaise de poste. Un grand drôle de valet de chambre de mon père remplissait en avant les fonctions de courrier. Nous voyagions en uniforme. J'avais un bonnet de police fort joli.
Madame Dabrovine: «Mais, mon cher monsieur Jackson, ils seront trop serrés, et pourtant ils ne peuvent pas rester dans cette berline sans Mme Dérigny.» Jackson, souriant: «Mlle Natasha en a bien envie, madame; nous sommes bien graves pour elle.»
Rien n'était plus vivant, et ne donnait plus envie de voyager, que de voir une grande berline avec siège devant et derrière, attelée de quatre beaux chevaux conduits par des postillons alertes, en habits bleus, bordés de rouge et galonnés, avec leurs grosses bottes, assez dures pour les préserver du contact des brancards et des timons.
Pourquoi, répliqua Jack, au lieu de ces affreux tombereaux démantibulés, ne pas me proposer tout de suite votre berline vert-olive doublée de drap de Lincoln, et qui a de si beaux stores de soie? Ma berline vert-olive, qui m'a coûté si cher! s'écria Geordie effrayé de l'énormité de la proposition; y pensez-vous?
Adieu le rêve! adieu l'ivresse! Adieu l'amour et la tendresse Et les frais soupirs éperdus! Adieu le bal et ses délires, Et les parfums et les sourires! Adieu tous les bonheurs perdus! Chevaux, postillon et berline Qui, sur le flanc de la colline, Descendiez si légèrement, Vos grelots aux notes joyeuses, Durant les nuits silencieuses, N'effraieront plus l'écho dormant.
Caroline fut d'abord un peu surprise de se trouver seule dans une grande berline. Encore émue des adieux de son père et des événements de la journée, il lui eût été difficile de rendre raison de ce qui se passait dans sa tête, où tout était désordre et tumulte: elle ne savait si elle devait se réjouir ou s'affliger.
La berline les conduisit
Les maîtres, en ce temps, payaient ce rare dévouement en protection efficace et en sécurité pour l'avenir. De tels maîtres et de pareils serviteurs, on ne trouve plus aujourd'hui de traces que dans les vieux mélodrames de l'Ambigu; dans la Berline de l'Emigré, par exemple, ou dans le Dernier des Châteauvieux.
Et les uns accouraient, et les autres se rangeaient; car un roi qui passe, c'est toujours un tumulte. Du reste l'apparition et la disparition de Louis XVIII faisaient un certain effet dans les rues de Paris. Cela était rapide, mais majestueux. Ce roi impotent avait le goût du grand galop; ne pouvant marcher, il voulait courir; ce cul-de-jatte se fût fait volontiers traîner par l'éclair. Il passait, pacifique et sévère, au milieu des sabres nus. Sa berline massive, toute dorée, avec de grosses branches de lys peintes sur les panneaux, roulait bruyamment. À peine avait-on le temps d'y jeter un coup d'oeil. On voyait dans l'angle du fond
Mais de toutes les manières de voyager, la seule alors qui fût agréable et véritablement commode, c'était la chaise de poste ou plutôt la grande berline ou la grande calèche conduite
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