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Mis à jour: 3 juin 2025


L'heure des Lombards était donc arrivée, et Alboïn, leur roi, fit ses dispositions pour un prompt départ. Pourtant une chose le retenait en Pannonie, la haine de son peuple contre les Gépides, et son propre ressentiment, contre leur roi Cunimond , fils de ce Thorisin qui avait été un ennemi si acharné des Lombards. S'en aller comme un fugitif sans avoir assouvi sa vengeance, et laisser derrière soi des terres sur lesquelles les Gépides ne manqueraient pas de se jeter, bravant la rage impuissante des Lombards et profitant de leurs dépouilles, c'était un parti qu'Alboïn, au dernier moment, ne se sentit pas le courage de prendre. On a prétendu avec assez de probabilité que les aiguillons de l'amour se mêlaient dans le cœur du barbare

Cet Alboin, dont nous avons l

Lorsque les Saxons rentrèrent dans leur pays, ils trouvèrent la place prise: «Au temps du passage d'Alboin en Italie, Clotaire et Sigebert avaient placé, dans le lieu qu'il quittait, des Suèves et d'autres nations; ceux qui avaient accompagné Alboin, étant revenus du temps de Sigebert, s'élevèrent contre eux et voulurent les chasser et les faire disparaître du pays; mais eux leur offrirent la troisième partie des terres, disant: «Nous pouvons vivre ensemble sans nous combattreLes autres, irrités parce qu'ils avaient auparavant possédé ce pays, ne voulaient aucunement entendre

Voy. Muratori, Annal. d'Ital., année 567. Ce n'étaient plus des essaims, de nombreuses armées, c'était une nation entière, hommes, femmes, vieillards, enfants, conduits par Alboin, leur roi, qui venaient y chercher une nouvelle patrie. Leur état, dont Pavie fut la capitale, s'étendit depuis les Alpes jusqu'aux environs de Rome, sans y comprendre les villes maritimes, les unes libres, les autres encore défendues par les Grecs. Leur règne de fer remplit la fin du sixième siècle, tout le septième, et la plus grande partie du huitième. Leurs guerres meurtrières, tantôt entre leurs différents chefs, tantôt avec les Grecs, restés maîtres de Rome, de quelques autres villes et de l'Exarchat de Ravennes, tantôt enfin avec les Francs, toutes signalées par d'horribles massacres, et par les ravages du fer et du feu, firent pendant ce long espace, de la malheureuse Italie,

Incidence. Alboin fils Aldoin estoit en ce temps roy d'une gent qui est apelé Gépidiens. Il se combatti contre Turisme le fils d'un autre roy. En ce point que les deux parties combatoient fermement, Alboin frappa Turisime de son espée parmi le chief, si que il le rua mort. Quant ses gens virent que leur sire fu mort, qui estoit de si grant prouesse que lui seul soustenoit le plus grant faix de la bataille, ils se prirent tous

[Note 897: Alboïn, Ἀλβούιο

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