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Mis à jour: 11 juin 2025
Le comte Charles de Cossé-Brissac, homme de quarante-cinq ans, d'une haute mine, était un grand seigneur de race et de manières, enragé ligueur, que les Parisiens adoraient parce qu'il les avait commandés contre le tyran Valois aux barricades, et les Parisiennes ligueuses l'idolâtraient parce qu'elles pouvaient avouer cette idole sans faire médire de leur patriotisme.
Il paraît que chaque canton avait ses usages et son culte de religion particuliers. Dans l'île de Ténériffe, on ne comptait pas moins de neuf sortes d'idolâtrie; les uns adoraient le soleil, d'autres la lune, les planètes, etc.
On contait aussi qu'ils avaient un fils nommé Justin, beau garçon de trente-cinq ans, lancé dans le plus grand monde, qu'ils adoraient bien qu'il rougit d'eux et les méprisât, et qui venait les visiter de nuit, quand il avait besoin d'argent... Personne, il est vrai, ne le connaissait, ce fils, personne, jamais, ne l'avait vu...
Vouliez-vous, pour berceau d’un rêve glorieux, pour l’épanouissement d’une fleur d’idéal, un lieu plus favorable que cette cour d’amour discrète, au belvédère d’un coteau, au milieu des lointains azurés et sereins, avec une volée de jeunes qui adoraient le Beau sous les trois espèces: Poésie, Amour, Provence, identiques pour eux, et quelques demoiselles gracieuses, rieuses, pour leur faire compagnie!
Du temps de Tacite, les Germains étaient plongés dans les ténèbres de l'idolâtrie; ils adoraient principalement Mercure, et dans certains sacrifices ils immolaient des victimes humaines. Ces peuples avaient aussi une grande foi aux augures, et n'entreprenaient rien sans avoir consulté le vol des oiseaux ou le hennissement des chevaux.
Les Védas sont un recueil d'hymnes consacrés aux divinités symboliques de ce temps primitif; ces hymnes célèbrent les attributs personnifiés du Dieu unique et créateur que les sages adoraient derrière ces incarnations, et que le peuple adorait dans ces incarnations.
»A dater du moment où la jolie petite Flor fut notre compagne, la route devint moins monotone. Elle était gaie presque autant que moi, et bien plus avisée. Elle savait danser, elle savait chanter. Elle nous amusait en nous racontant les tours pendables de ses frères les gitanos. »Nous lui demandâmes quel dieu ils adoraient; elle nous répondit: Une cruche.
Les Scythes et les Gaulois adoraient une épée. Les Badagas vénèrent le couteau, depuis longtemps rouillé, avec lequel un de leurs héros s'était ôté la vie.
«Nous trouvons, dit Bodin , au 6e livre de Meyr, qui a escrit fort diligemment l'histoire de Flandres, que l'an 1459 grand nombre d'hommes et femmes, furent brulés en la ville d'Arras accusées les uns par les autres et confessèrent qu'elles estoient la nuit transportées aux danses et puis qu'ils se couplaient avecques les diables qu'ils adoraient en figure humaine.»
La Religion Chrétienne ne s'était point encore étendue au Nord plus loin que les conquêtes de Charlemagne. La Scandinavie, le Danemark, qu'on appelait le Pays des Normands, étaient plongés dans une idolâtrie grossière. Ils adoraient Odin, et ils se figuraient qu'après leur mort le bonheur de l'homme consistait
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