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Mis à jour: 20 mai 2025
Cette déclaration n'ayant pas paru assez précise aux commissaires anglais, on leur dit, le 16 novembre, que «l'ancienne Acadie commençait
Les Acadiens comme les Canadiens ont conservé le culte du souvenir. Les uns et les autres sont encore ce qu'étaient leurs aïeux sous le règne du bon roi Henri IV. Dans les campagnes qui bordent le St. Laurent, comme sur les rivages de l'ancienne Acadie où sont restés les descendants des fils de la France, le voyageur retrouve le même attachement
[Note 23: "Le vendredi, lendemain de notre arrivée (27 juillet 1606), le Sieur de Poutrincourt affectionné de cette entreprise (l'établissement de Port Royal en Acadie) comme pour soi-même, mit une partie de ses gens en besogne, au labourage et culture de la terre, tandis que les autres s'occupaient de nettoyer les chambres et chacun appareiller ce qui était de son métier. Ce coup de charrue est le vrai commencement de la colonie française en Acadie." LESCARBOT. "Louis Hébert, apothicaire de Paris, avait accompagné Poutrincourt dès 1604, et c'est probablement lui qui dirigea les travaux d'agriculture dont parle Lescarbot... Nous retrouvons Hébert en Acadie et plus tard
Il entra, jeune encore, au séminaire de Saint-Sulpice de Paris, et y resta plusieurs années sous la direction de M. Tronson; ensuite, il vint en Acadie, ou il évangélisa les sauvages. Il était allé chercher des ressources en France, l'année précédente, pour ses pauvres ouailles. S'étant présenté
Après avoir ainsi débarqué ses colons sur cette terre désolée, entourée d'écueils battus par la mer, il passa en Acadie. En revenant, il fut surpris par une furieuse tempête qui le chassa en dix ou douze jours sur les côtes de France. Il n'eut pas plutôt mis pied
Cependant le détachement de M. de Ramsay en Acadie et l'arrivée du duc d'Anville
La vie mouvementée, au milieu de leurs vassaux sauvages, de quelques-uns des chefs de la colonie, les Poutraincourt, les Menou, les Razilly, qui s'étaient assuré sur les tribus indiennes une sorte de pouvoir féodal, a été contée d'une façon pittoresque par M. Rameau de Saint-Père . Un des types les plus accentués de cette série d'aventureux gentilshommes est le baron de Saint-Castain. Né Béarnais, capitaine au régiment de Carignan, il débarque au Canada en 1667, quitte le service pour aller s'établir en Acadie, s'y taille un fief, s'intitule Capitaine des sauvages et épouse une femme indienne. Brave, vigoureux, adroit, il devient en peu de temps l'idole des indigènes. A leur tête, pendant la guerre de 1688, il repousse victorieusement toutes les attaques des Anglais. Vers 1708, il rentre en France, mais laisse ses «domaines d'Acadie»
Longtemps, malgré la cession, les Acadiens restèrent seuls en Acadie. Par cet isolement, sevrés tout
«Les auteurs de cette infamie sont le frère et la soeur, le lieutenant Paul Aubry, officier de notre marine, et la jeune veuve du vaillant DeBoismorel, mort au champ d'honneur, en Acadie, et dont notre armée pleure encore la perte. «La malheureuse veuve, pour satisfaire une ambition aussi sotte que coupable, a eu recours aux moyens les plus vils.
Parmi les nombreuses criques formées dans les rochers escarpés qui bordent les rivages de l'ancienne Acadie, aujourd'hui la Nouvelle
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