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Mis à jour: 20 mai 2025
Sur la ville vint fondre une peste maligne. Plus d'un présage affreux, plus d'un funeste signe En avait averti l'orgueilleux citadin. De sauvages pigeons avaient paru soudain: Ils sortaient des forêts où pour toute pâture Ils n'avaient pu trouver qu'une noix sèche et dure. Leur vol rapide et sombre avait terni le jour. L'insecte sans murmure avait fui son séjour. Ainsi que dans les mois d'avril et de septembre, Sur les champs émaillés et tout parfumés d'ambre, L'océan pousse un flot qui monte, monte encor Jusqu'
Dans les vallons émaillés de pâquerettes, ton ruisselet s'attarde, L
C'était pour lui et pour nous-mêmes un magnifique spectacle que cette maison flottante, marchant toute seule et s'avançant impétueusement au-devant d'un courant rapide, sans le secours d'aucune force apparente, entre deux bords émaillés de prairies et si rapprochés l'un de l'autre qu'on semblait courir sur la verdure; ce tonnerre sans cesse grondant de la vapeur qui portait le bruit des cités dans les profondes solitudes; ce chef-d'oeuvre de l'industrie humaine, cette merveille de la civilisation moderne, placée en face des beautés primitives de la nature sauvage.
Près de la fenêtre, c'était un fourmillement lumineux, coloré, scintillant, éblouissant, auquel la lumière prismatique des vitraux donnait encore des tons plus chauds et plus riches; il est impossible de nombrer les curieux objets d'orfèvrerie émaillés, ciselés, entassés sur des étagères de nacre qui avoisinaient la fenêtre.
C'était, ce Franquebalme, un avocat très disert, aux arguments émaillés de toutes fois et quantes, d'une part, d'autre part, aux discours cimentés
Vous connaissez comme moi ces palais enchantés que la Seine voit sur ses bords dans sa course tranquille... Hélas! un art cruel nous y poursuit encore, il étouffe la nature en croyant l'embellir. L'ennuyeuse symétrie a dessiné ces parterres émaillés de sables stériles, et ces tristes gazons dépouillés de leur verdure... Des murailles de charmille ne permettent point aux zéphirs de caresser le sein de Flore, la rose se flétrit sans honneurs dans ces vases qui la gênent, pour la rassembler en bouquets. De longues allées ne semblent m'offrir un point de vue délicieux que pour l'isoler et le rendre monotone. J'entre dans un bosquet, des arbustes fatigués y prêtent
En nous éloignant du petit désert aux vautours, nous rencontrons d'abord quelques grands bocages, laborieusement créés de main d'homme, ceux-ci, et entourés de murailles: résidences d'été pour des grands seigneurs persans et kiosques émaillés de bleu pour les dames de leur harem. La route ascendante devient bientôt presque ombreuse; elle a pour bordure des grenadiers, des mûriers chargés de fruits où des gamins en longue robe font la cueillette; et nous arrivons enfin
Qui dans les sphères inconnues, Ou sous les feuillages mouillés, Ou par les montagnes chenues, Ou dans l'azur flottant des nues, Ou par les gazons émaillés, Pélerin
Sur la roche pointue aux chèvres familière, Sur le lac, sur l'étang, sur leurs tranquilles eaux, Sur les bords émaillés où plaignent les roseaux, Dans le cristal rompu des ruisselets obliques, Il aime
Pierre J'aime, ô terre bénie, où dorment nos aïeux! Tes lacs d'azur au fond des bois harmonieux Où murmure une onde limpide. Tes coteaux émaillés de hameaux éclatants Qui se mirent au loin dans les flots transparents De ton fleuve large et rapide.
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