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Le soleil faisait briller la pointe des tiares, le pommeau des glaives, chauffait

est celle qui s'est abandonnée aux capitaines des Assyriens, qui ont des baudriers sur les reins, et sur la tête des tiares de différentes couleurs? est celle qui s'est abandonnée aux jeunes hommes d'

IOKANAAN. Ou est celle qui s'est abandonnee aux capitaines des Assyriens, qui ont des baudriers sur les reins, et sur la tete des tiares de differentes couleurs? Ou est celle qui s'est abandonnee aux jeunes hommes d'Egypte qui sont vetus de lin et d'hyacinthe, et portent des boucliers d'or et des casques d'argent, et qui ont de grand corps?

En prenant congé d'elles, je ne m'imaginais pas que bientôt, par le fastueux caprice du roi de Pnom-Penh, j'allais les revoir, une nuit, au son évocateur des vieilles musiques de leur temps; les revoir non plus mortes, avec ces sourires pétrifiés, mais en pleine vie et jeunesse; non plus avec ces gorges de grès rigide, mais avec de palpitantes gorges de chair, et coiffées de véritables tiares d'or, et constellées de véritables pierreries...

Je monte sans hâte, éclairé par un soleil d'éblouissement et de mort. Oh! combien de symboles effroyables, échelonnés sur cette pénible route ascendante! Partout des monstres, des combats de monstres; partout le Naga sacré, traînant sur les rampes son long corps onduleux, et puis dressant en épouvantail ses sept têtes vipérines! Les Apsâras, qu'elles sont jolies et souriantes sous leurs coiffures de déesses, avec pourtant toujours cette expression de sous-entendu et de mystère qui ne rassure pas... Très parées, ayant des bracelets, des colliers, des bandeaux de pierreries, de hautes tiares pointues ou des touffes de plumes, elles tiennent entre leurs doigts délicats, tantôt une fleur de lotus, tantôt d'énigmatiques emblèmes; toutes celles que l'on peut atteindre en passant ont été si souvent caressées, au cours des siècles, que leurs belles gorges nues luisent comme sous un vernis, et ce sont les femmes qui, pendant les pèlerinages, les touchent passionnément pour obtenir d'elles la grâce de devenir mères. Dans leurs niches brodées de ciselures, elles demeurent adorables. Quel dommage que leurs pieds les déparent, toujours énormes, comme aux bas-reliefs de l'

Pendant ce Te Deum, au moment deux chœurs se répondent, le tabernacle s'ouvre et l'on voit les prêtres coiffés de leurs tiares étincelantes de pierreries, vêtus de leurs robes d'or, sur lesquelles se détachent majestueusement leurs barbes d'argent: il y en a qui tombent jusqu'

En examinant de près cette fleur bizarre, on s'aperçoit qu'elle est factice; elle est montée sur une tige de jonc, et composée des feuilles d'une toute petite plante parasite très odorante, sorte de lycopode rare qui pousse sur les branches de certains arbres des forêts. Les Chinois excellent dans l'art de monter des tiarés très artistiques, qu'ils vendent fort cher aux femmes de Papeete.

Vos monuments tumultueux, Beaux comme des tiares de pierre, Les hauts cyprès des cimetières, Et le soir, la calme lumière Sur les tombeaux voluptueux, Les quais crayeux, les boutiques, Regorgeant de fruits noirs et secs, Affichent la noblesse antique Du splendide alphabet des Grecs;

Aux siècles féodaux, quand tiares et croix Soudainement dans les guerres dégringolées, S'ensanglantaient autant que les glaives des rois Et se cassaient au heurt des superbes mêlées, Les évêques jugeaient la plainte et le grief; Leur donjon mordait l'air de ses créneaux gothiques; Ils n'avaient cure et soin jamais que de leur fief; Ils se disaient issus des déesses mythiques; Leurs cœurs étaient d'airain, mais leurs cerveaux battus, Comme une enclume en bronze, étaient tintants de gloire. Ces temps passaient de fer et de splendeur vêtus Et le progrès n'avait encor de sa râcloire Rien enlevé de grand, de féroce et de gourd Au monde, se taillaient les blocs des épopées. Quelque moine en était le dompteur rouge et lourd, Mais moins