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«Dites donc, s'écria miss Swartz en tournant vivement sur le tabouret, est-ce l

Quantité d'autres personnes firent de même. Notre ancienne amie, ci-devant miss Swartz, vint avec son mari et des laquais en livrée jaune-orange, faire visite

Les mérites incontestables que possédait miss Swartz avaient assurément de quoi inspirer une violente passion, et l'âme du vieil Osborne se berçait déj

Si vous l'aimez, allez la voir, miss Swartz, elle n'a plus beaucoup d'amis maintenant, et, je le répète, Dieu bénira ceux qui lui conservent quelque affection. Qui parle bien d'elle est mon ami; qui en dit du mal est mon ennemi. Merci encore une fois, miss SwartzEt, se levant, il alla lui serrer la main. «Ah! George fit une de ses soeurs d'une voix suppliante, ah! George, que dites-vous l

Et elle alla chercher bien vite le recueil elle se trouvait. Or, cette romance, qui jouissait de la vogue du moment, avait été donnée aux deux soeurs par une de leurs amies, dont le nom était écrit sur la première page. Miss Swartz reçut de George les plus vifs applaudissements. C'était, en effet, une des romances favorites d'Amélia, et il ne l'avait pas oublié.

Ce ne peut être que miss Swartz, la pensionnaire en chambre, dit Emmy, se rappelant la bonne et excellente mulâtresse qui avait eu des attaques de nerfs le jour Amélia avait quitté la maison de miss Pinkerton.

«Envoyez-moi mes lettres sous l'enveloppe de mon grand-père le comte de Dexter, dit miss Saltire, qui, soit dit en passant, était fort râpée. N'attendez pas la poste, mais écrivez-moi chaque jour, mon cher coeurdit l'impétueuse mais affectionnée miss Swartz.

Cette ouverture du genre impératif fut accueillie par George avec une vive contrariété. Il était alors dans le premier enthousiasme, dans le premier feu de sa réconciliation avec Amélia, et jamais ses chaînes ne lui avaient paru si douces. La comparaison de ses manières, de sa tournure avec celles de miss Swartz, lui montrait une union avec celle-ci sous des traits doublement burlesques et odieux.

Cette objection jeta quelque incertitude dans l'esprit du vieillard; mais, dominé par son entêtement naturel, il répondit: «Demain, vous dînerez ici, monsieur, et, toutes les fois que miss Swartz y viendra, j'entends que vous soyez l

Dans la cour commencèrent les scènes déchirantes du départ; les mots nous manquent pour une telle peinture. Tous les domestiques étaient réunis, toutes les bonnes amies, toutes les jeunes pensionnaires, et jusqu'au maître de danse qui venait d'arriver. Ce n'étaient que plaintes, embrassades, larmes et lamentations, sans oublier les crises nerveuses de miss Swartz, l'élève en chambre, qui, de sa fenêtre se livrait