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[Note 3: Dans un Recueil des airs, romances et duos de J.-J. Rousseau publié par souscriptions en 1871, on lit cette note

«Je ne doute pas que ce recueil ne soit accueilli avec autant d'empressement et de plaisir par le public, que les chants des Grecs modernes et la collection des romances espagnoles. Le lecteur goûtera cet intérêt, ce charme si vif qui s'attache aux poésies des peuples peu avancés encore dans la civilisation. J'ajouterai, pour terminer, que l'exécution typographique ne laisse rien

Dieu soit loué! j'ai cru qu'il n'en finirait pas avec son petit prodige. Monsieur B..... veuillez m'accorder dix minutes. Je n'ai pas besoin de piano, moi, l'accompagnement de mes romances ne sert pas

Elle chantait des romances qu'accompagnaient

Ici le critique tombe lourdement sur le parquet comme frappé d'apoplexie, son domestique épouvanté, pousse des cris d'effroi, les voisins accourent, on s'empresse de le porter dans sa chambre, pendant que la chanteuse de romances (car c'est une dame) murmure en s'en allant: «Quelle ineptie! quelle absence de sentiment! ne pas écouter seulement la première! il est capable de ne pas annoncer mon concert et de ne pas lire mon recueil! voil

La renommée d’un guzlar, et son orgueil de poète aussi, n’était jamais si grande que l’imaginait Mérimée, oubliant un peu trop qu’il avait dit que «la plupart sont des vieillards et fort pauvres, souvent en guenilles, qui courent les villes et les villages en chantant des romances». Si un guzlar était connu, il ne l’était pas par son talent de poète, mais par sa bonne mémoire et pour son répertoire choisi. Donc, pour le salut de la «couleur locale», le nom du soi-disant auteur des ballades de la Guzla ne devait pas figurer sur le recueil. Pour comble de malheurs, quelques biographes par trop zélés ont rendu

Le prodigieux succès de la romance de Marlborough pourrait seul en donner la preuve, si l’empressement avec lequel nous nous hâtons de transporter les romances étrangères dans notre langue était aujourd’hui moins connu.

Dans son recueil des Pièces intéressantes et peu connues (Bruxelles, 1784-1785), il donna toute une série d’anciennes romances et contes qui témoignent une certaine connaissance des recueils anglais qu’il avait voulu imiter. C’est ainsi que, dans une note, il reconnaît avoir emprunté

Que vont-ils faire ces pauvres ramoneurs, maintenant que l'hiver est supprimé, et que deviendra leur petite raclette? M. Hornung, qui a fait avec eux de si mauvais tableaux; plusieurs compositeurs qui les ont mis en musique dans plusieurs milliers de romances commençant par /* Enfant de la montagne, */

Vers cinq heures je montai saluer Henriette entourée de sa famille. Visite inévitable. Henriette fut d'une distinction accomplie; ni trop émue, ni trop glaciale. Elle accepta mes condoléances avec un sourire triste un de ces sourires comme on en rencontre sur les dessins des romances et elle m'annonça son départ pour le lendemain. Elle se retirait pour quelques semaines