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M. Tomo Matić, qui a fait une étude spéciale sur les traductions françaises de la Triste ballade , mais qui n'en connaissait que cinq, en cite deux autres, sur l'autorité de M. Skerlitch, dit-il . La première aurait été publiée par le baron Eckstein dans le Catholique en 1826, la seconde par Mme Sw. Belloc dans le Globe en 1827. Vérification faite, M. Matić blâme sévèrement M. Skerlitch de l'avoir induit en erreur, car ces traductions n'existent pas . Nous avons lu et relu l'article qu'il cite; une seule phrase a retenu notre attention; mais il n'y est question que des traductions françaises de poésies serbes en général . En effet, on trouve dans le Catholique de 1826 deux longs articles sur la poésie serbe, et dans le Globe de 1827 plusieurs chants du recueil de Karadjitch, traduits par Mme Sw. Belloc. Du reste, nous en avons déj

M. Jean Skerlitch, d'après qui nous citons cette page , conjecture sous réserve d'ailleurs que l'auteur de Corinne devait connaître la poésie «morlaque» par les traductions de Herder et de Goethe dont nous avons déj

Pourtant cette ballade n'est pas sans ressemblance avec les véritables poésies serbes, et M. Jean Skerlitch avait raison de comparer les malheurs de Christich Mladin avec ceux du vieux Vouïadine emmené prisonnier avec ses deux fils par les Turcs

M. Jean Skerlitch a signalé le premier que la ballade de Mérimée n'est autre chose que la traduction d'un poème imprimé de Kačić ; il croit qu'il y eut comme une sorte de mystification de la part du comte de Sorgo, ou plutôt Sorcočević,

En 1901, M. Jean Skerlitch a identifié cet ouvrage . C'est un volume intitulé: Voyage en Bosnie dans les années 1807 et 1808, par M. Amédée Chaumette-Desfossés, consul de France en Prusse; ci-devant chancelier du consulat général de Bosnie, etc., etc. Imprimé

Après eux, MM. Preisinger, Ćurčin, Skerlitch , Popovitch , d'autres encore, parlèrent