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M. Belloc. Portrait d'homme. Henri Heine partageait en deux classes bien distinctes les peintres de portraits: «Les uns, disait-il, ont le merveilleux talent de saisir et de rendre ceux des traits qui peuvent donner même au spectateur étranger l'idée exacte de l'individu représenté, de telle sorte qu'il comprend aussitôt le caractère de figure de l'original inconnu, au point de le reconnaître tout de suite, s'il vient

Exigez-vous une nouvelle preuve que les paroles ne sont dans la musique que pour y remplir des fonctions très secondaires, et pour n'y servir en quelque sorte que comme étiquettes du sentiment? Voyez un air chanté avec l'accent de la passion, par madame Belloc ou mademoiselle Pisaroni, et le même air chanté un instant après par quelque savante serinette du Nord.

L'ami de M. de Belloc était dans la garde nationale

Au moment la Guzla sortait des presses, Mme Louise Sw. Belloc, traductrice de Thomas Moore, rédigeait en français une traduction d’un certain nombre de chants serbes. Déj

M. de Belloc resta, contre son attente, un mois

Les mêmes jours, le Globe publiait une série de poésies serbes, traduites en prose par Mme Louise Sw.-Belloc: la Fondation de Scutari, Bataille de Kossovo, la Tête de Lazar retrouvée, les Frères, le Mariage de Haïkouna, etc. On se rappelle que Mme Belloc avait annoncé un volume de piesmas, quelques semaines seulement avant l'apparition de la Guzla ; devancée par cet anonyme Italien qui envoyait de Strasbourg un recueil tout fait, elle communiqua son manuscrit

A Milan, cette nuance, comme toutes les autres, fut fort bien saisie par madame Belloc. Je craindrais de fatiguer le lecteur si je lui parlais encore des transports du public,

Le Corse se confondit en remerciements. Le vent changea au bout de quelques jours pendant lesquels il vint fréquemment voir mon père. On s'embarqua. Lorsqu'on servit le dîner, auquel mon père invita les passagers composés de quelques officiers de son régiment et des deux Corses, il chargea un officier, monsieur de Belloc, d'appeler le jeune homme, vêtu de l'habit de l'

M. Tomo Matić, qui a fait une étude spéciale sur les traductions françaises de la Triste ballade , mais qui n'en connaissait que cinq, en cite deux autres, sur l'autorité de M. Skerlitch, dit-il . La première aurait été publiée par le baron Eckstein dans le Catholique en 1826, la seconde par Mme Sw. Belloc dans le Globe en 1827. Vérification faite, M. Matić blâme sévèrement M. Skerlitch de l'avoir induit en erreur, car ces traductions n'existent pas . Nous avons lu et relu l'article qu'il cite; une seule phrase a retenu notre attention; mais il n'y est question que des traductions françaises de poésies serbes en général . En effet, on trouve dans le Catholique de 1826 deux longs articles sur la poésie serbe, et dans le Globe de 1827 plusieurs chants du recueil de Karadjitch, traduits par Mme Sw. Belloc. Du reste, nous en avons déj

Ce petit sournois, c'était l'empereur Napoléon. Et, cette scène, Belloc me l'a racontée dix fois: «Ah! si mon colonel avait voulu me permettre de le jeter