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Le 13 novembre 1824, le Globe entreprit la publication d’une série d’articles sur les Poésies nationales des Serviens, dont il ne parut que les deux premiers.

La Russie demandait la Finlande et les provinces turques, jusqu'au Danube, avec les arrangemens que les localités obligeraient de prendre, telles que l'émancipation des Serviens; et, si cela était possible, la séparation de la Hongrie.

Trois mois plus tard, le Globe parla de la revue strasbourgeoise et lui reprocha d’avoir trop sommairement présenté les ballades serbes: Cette livraison peut nous fournir quelques nouvelles littéraires de l’Allemagne... La première partie d’une traduction des Chants populaires des Serviens a paru

Les Serviens, que les Russes ne désavouent plus pour alliés, se sont emparés d'une île du Danube qui appartient

Les chants «serviens» ou «illyriens», eux aussi, furent tenus en grande réputation; mais on les connut surtout de nom, car il en manquait une traduction. Cette traduction, si souvent désirée et réclamée, était enfin annoncée comme étant sous presse, quatre semaines seulement avant l’apparition de la Guzla. Prosper Mérimée avant «la Guzla».

On s’est pris en Allemagne, disait la revue, d’une belle passion pour la littérature poétique des Serviens, que l’on connaît seulement depuis quelques années... Il est pourtant de fait que les chansons serviennes sont généralement pauvres de poésie et d’invention. Souvent elles se réduisent

Puis, après avoir parlé sur le caractère général des piesmas héroïques «les brigands et les Turcs jouent un grand rôle», M. Depping ajoutait: Un glossaire des termes et noms serviens employés dans ce recueil termine le second volume: l'auteur y a donné aussi quelques notes historiques sur les événements auxquels les romances font allusion; une partie de ces notes est tirée de celles qui accompagnent le recueil français de la Guzla .

Les Serviens, disait-il, ont une foule de chansons nationales qui n’avaient jamais été recueillies, et dont un grand nombre n’avait peut-être jamais été mis par écrit, lorsque le savant servien Wuk eut l’heureuse idée d’en faire un recueil qu’il a porté en Allemagne et qui y a été publié. C’est une nouveauté intéressante qui nous fait connaître la poésie d’un peuple dont la littérature,

«J'apprends dans ce moment qu'un accommodement a eu lieu entre les Serviens et la Sublime Porte. Les Serviens ont promis de rentrer dans leurs foyers, de rendre Belgrade et de livrer leur artillerie. Leurs députés partent dans trois jours avec cette espèce de convention. Vous connaissez, mon général, mon amitié et mon dévouement pour vous: ils ne se démentiront jamais

«Vous avez sans doute appris la prise de Belgrade par les Serviens. Cette place s'est rendue faute de munitions de bouche. Je ne crois pas l'Autriche étrangère