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«L'Italie est profondément agitée. C'est la question nationale qui l'emporte et domine toutes les autres. L'élan est général, irrésistible. Les gouvernements italiens qui ne le seconderaient pas y périraient. Mais on se tromperait si on croyait que l'Italie est communiste et radicale. Les radicaux n'y exercent une influence que parce qu'ils ont eu l'adresse de se mettre

«Les radicaux avaient découvert qu'une république unitaire est une monarchie déguisée, et, pour leur faire plaisir, les Cortès avaient proclamé d'une seule voix la république fédérale sans qu'aucun des votants eût pu dire ce qui venait d'être voté. Mais cette formule enchantait tout le monde, c'était une ivresse, un délire. On venait d'inaugurer sur la terre le règne de la vertu et du bonheur. Un républicain,

Je m'aperçois que je parle ici comme les radicaux parlent

Grande aversion pour les chats et les radicaux. Extraordinaire! s'exclama sir Thomas. Vous devriez lire aussi dans la main de ma femme. De votre seconde femme, dit tranquillement M. Podgers qui conservait toujours la main de sir Thomas dans la sienne.

Tout ce pêle-mêle de grisettes, de filles perdues, de vieillards désespérés, d'étudiants goguenards, de philosophes radicaux, de braves rêveurs, de héros sans cause, est d'un mouvement désordonné qui peint bien l'imagination populaire un jour de révolution.

Les radicaux faisaient peu de bruit

C'est cette alliance, aujourd'hui rompue, des prêtres avec les monarchistes qui a permis aux radicaux d'accaparer la République et, sous couleur de la défendre, d'en faire leur chose et leur butin; de la façonner et de la rétrécir

Ah! les coefficients, les exposants, les radicaux, les indices et autres dispositions adoptées dans cette langue! Comme tous ces signes voltigeaient sous sa plume, ou plutôt sous le morceau de craie qui frétillait au bout de son crochet de fer, car il aimait

Que serait-il arrivé si des événements bien autrement grands et puissants n'étaient venus rejeter bien loin dans l'ombre les dissensions des cantons suisses? Nul ne le saurait dire. Quoi qu'on en puisse conjecturer, en présence du succès des radicaux suisses, de la fermentation italienne et des ardents débats qui, dans nos Chambres, menaçaient l'existence du cabinet français, le prince de Metternich n'agit point, et ne nous mit point dans la nécessité d'agir. Quand le cabinet du 29 octobre 1840 et la monarchie de 1830 furent tombés, personne ne pensa plus

Dans tout ce mouvement progressif et réformateur, l'influence des libéraux modérés et laïques était de plus en plus active et prépondérante: «Je leur ai toujours conseillé et je leur conseille toujours, m'écrivait M. Rossi , de ne pas se séparer du gouvernement et de ne pas se mêler avec les radicaux. Jusqu'ici ils ont joué la partie avec un calme, une adresse, une clairvoyance admirables. Ils savent bien, eux, ce qu'ils veulent, et ils savent aussi le dissimuler, convaincus que les embarras et les difficultés iront croissant, et que le pape