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L'Opéra impérial de Moscou a représenté, dans la même saison, ma Pskovitaine, précédée de Vera Scheloga. J'ai assisté

L'année 1874 peut marquer pour Moussorgsky le commencement de sa chute, chute qui alla progressivement jusqu'au jour de sa mort. Rédaction des partitions de Glinka. Deuxième version de la Pskovitaine. Comparaison des deux versions.

Composition de la cantate-prélude D'après Homère et de Kastcheï l'Immortel. Vera Scheloga et la Pskovitaine au Grand Théâtre Impérial de Moscou. Composition du Pan Voyevode. Nouvelle orchestration de la Statue du Commandeur. Servilie au Théâtre Impérial Marie. Kastcheï l'Immortel

Tout cela me peinait un peu, mais l'essentiel est que je sentais moi-même que, sous sa nouvelle forme, mon opéra paraissait long, sec, lourd, malgré une meilleure facture et une technique plus expérimentée. <tb> Lorsque j'eus fini la Pskovitaine, j'écrivis

Au printemps de 1898, j'ai écrit encore quelques romances, puis je me suis mis au prologue de la Pskovitaine (paroles de May): Véra Scheloga. Je traitai cette œuvre

Dans l'intervalle de mes travaux de révision des œuvres de Moussorgsky, j'ai reinstrumenté en partie l'ouverture et les entr'actes de la Pskovitaine en substituant aux cors et trompettes naturels les mêmes instruments, mais chromatiques. Ces numéros furent supprimés dans la deuxième rédaction de la Pskovitaine, d'abord parce que j'ai perdu tout espoir de faire monter cet opéra, et ensuite, parce que j'étais mécontent de cette seconde rédaction. Pendant la première rédaction, j'ai souffert de l'insuffisance de mon savoir, pendant la deuxième, de l'excès de savoir et de l'inhabileté dans la direction. Je sentais que la deuxième rédaction devait être ramassée et retravaillée, que la rédaction définitive de la Pskovitaine se trouvait quelque part entre la première et la deuxième rédactions et que je n'étais pas encore apte

Avec la dernière représentation, le succès de la Nuit de Mai diminua quelque peu, mais la salle était toujours comble. En me rappelant les représentations de la Pskovitaine, je dus avouer que le succès de mon premier opéra était plus grand et plus durable que celui du second. L'année suivante, la Nuit de Mai fut moins suivie par le public, et la troisième année, encore moins.

Il a toute l'autorité, dès lors, pour publier son traité d'harmonie, résumé remarquablement clair et précis de ses leçons au Conservatoire, et qui demeure encore le modèle du genre. Ses multiples occupations, au Conservatoire, au choral de la Cour, aux «Concerts symphoniques russes», dont il dirigeait l'orchestre, etc., n'arrêtèrent point son extraordinaire fécondité. Outre la troisième version de la Pskovitaine, il écrit successivement les opéras: Mlada, La Nuit de Noël, Sadko, Mozart et Salieri, Vera Scheloga (prologue

Durant cette saison, la Pskovitaine eut dix représentations, toujours avec un grand succès et la salle comble. J'étais content, bien que je fusse assez malmené dans les journaux; seul, parmi les critiques, Cui faisait exception. Soloviev, entre autres, trouvant dans la partition du piano de la Pskovitaine de nombreuses fautes d'impression et voulant sans doute faire allusion

Je me pressais de terminer la Pskovitaine, parce que j'étais