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Le Ciel, qui récompense nos vertus plus que nos idées, parut exaucer visiblement ces voeux, ces prières et ces saintetés du père de Mozart, en lui accordant un miracle. Ce miracle, qui n'eut jamais rien d'analogue sur la terre par la précocité du génie humain, fut la naissance d'un fils. Ce fils, Wolfgang Mozart, dès les premiers mois de son existence, ne parut pas être un enfant des hommes, mais, selon la belle expression de ses biographes, une inspiration musicale revêtue d'organes humains. Le père et la mère, qui s'en aperçurent les premiers, tombèrent

Mozart n'aura jamais en Italie le succès dont il jouit en Allemagne et en Angleterre; c'est tout simple, sa musique n'est pas calculée pour ce climat; elle est destinée surtout

Si encore, c'était la musique que j'aime!... car je vous l'avouerai, il y en a une que j'adore!... Beethoven, Mozart, Mendelssohn?... Ah! ouitche, vous n'y êtes pas... Meyerbeer, Hadyn, Haendel... Vous ne brûlez pas du tout... Alors votre musique favorite?... Est celle de Donizetti... sans calembour. Avec un calembour charmant, bien au contraire.

En disant cela, Calistus Munbar est si chaleureux que ses auditeurs en sont impressionnés. Il parle de Saint-Saëns, de Reyer, d'Ambroise Thomas, de Gounod, de Massenet, de Verdi, et des chefs-d'oeuvre impérissables des Berlioz, des Meyerbeer, des Halévy, des Rossini, des Beethoven, des Haydn, des Mozart, en homme qui les connaît

L'opéra de l'Enlèvement au sérail est beaucoup plus vieux que celui d'Abou-Hassan, et Mozart, lorsqu'il l'écrivit, n'avait peut-être pas encore dix sept ans. Les personnes désireuses de savoir au juste ce qu'il en est peuvent consulter le livre de M. Oulibicheff, un Russe qui savait

Sans perdre un instant, ils s'élancèrent dehors, et ils arrivèrent au théâtre comme la toile se levait sur le quatrième acte de Don Juan... Deux fauteuils d'orchestre se trouvaient libres, ils les prirent. Faure était en scène... Mais que leur importait la musique divine de Mozart!...

dans lequel le jeune Turc propose tout simplement au mari de lui vendre sa femme, est digne du charmant duetto du premier acte. Ces paroles convenaient trop au tour d'esprit de Rossini pour qu'il ne leur donnât pas un chant parfaitement dramatique. Il est impossible de réunir plus de légèreté, plus de gaieté et plus de cette grâce brillante que personne n'a su rendre comme le cygne de Pesaro. Ce duetto peut défier hardiment tous les airs de Cimarosa et de Mozart: ces grands hommes ont des choses d'un mérite égal, mais non pas supérieur. Ils n'ont rien fait qui approche du ton de légèreté de cette cantilène. C'est comme les arabesques de Raphaël aux loges du Vatican. Pour trouver un rival

Don Juan est un chef-d'oeuvre, ajouta Boccaferri en allumant un bon cigare de la Havane (sa vielle pipe noire avait disparu), mais c'est un chef-d'oeuvre en plusieurs versions. Mozart seul en a fait un chef-d'oeuvre complet et sans tache; mais, si nous n'examinons que le côté littéraire, nous verrons que Molière n'a pas donné

Un soir elle insista pour qu'il vînt avec elle Entendre, aux Italiens, le Don Juan de Mozart. Le jeune homme accepta, souriant du hasard. Il comparait la pièce

C'est ce qu'on fait aujourd'hui pour Mozart, je n'en citerai pour preuve que le silence religieux avec lequel on écoute