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C'était une grande affaire, et pour l'artiste et pour le public, qu'un début au Théâtre-Français, en 1802; c'était une bien grande affaire encore d'être reçu sociétaire, car, si l'on était reçu sociétaire, homme, on devenait le collègue de Monvel, de Saint-Prix, de Baptiste aîné, de Talma, de Lafont, de Saint-Phal, de Mole, de Fleury, d'Armand, de Michot, de Grandménil, de Dugazon, de Dazincourt, de Baptiste cadet, de La Rochelle; femme, on devenait la camarade de Mlle Raucourt, de Mlle Contât, de Mlle Devienne, de Mme Talma, de Mlle Fleury, de Mlle Duchesnois, de Mlle Mézeray, de Mlle Mars.

Au bout de quinze jours, Lafont, le beau Lafont, vint

Je vis enfin le beau Lafont, l'acteur en grande vogue, dont les débuts avaient été si brillants que Talma en conçut quelques inquiétudes. Orosmane, c'était plutôt un joli homme: des traits très délicats, le nez un peu en l'air, de petits yeux noirs, mais très brillants et fins, de l'élégance dans toute sa personne, bel organe, parlant bien amour, des larmes, de l'enthousiasme, une chaleur très entraînante, jeu très éclatant, mais point de profondeur, peu de composition; c'était un feu d'artifice qui éblouissait, qui produisait des applaudissements très chaleureux. Lafont plaisait beaucoup aux femmes; son genre de talent séduisait avec juste raison. Il était vraiment ravissant dans Tancrède, le Cid, Orosmane. L'amour, il l'exprimait au mieux; il avait ces qualités et son succès dans le genre chevaleresque était bien légitime et mérité. La sensible Mlle Volnais venait aussi de terminer ses débuts, qui avaient eu quelque retentissement dans les Palmire, les Zaïre, etc. C'était une jolie personne, des yeux noirs magnifiques, un peu courte de sa personne, une tournure un peu empâtée; mais sa tête était théâtrale. Son organe n'était pas ce qu'elle avait de mieux: il était lourd et sourd. Elle pleurait beaucoup:

Merci Lafont, merci, dit mon oncle, en lui faisant signe de la main, et nous passâmes. En arrivant

Pas du tout, remarquait un homme instruit. Au 13 vendémiaire, il n'y avait que des royalistes, et la preuve c'est que les trois colonnes qui marchaient sur la Convention étaient commandées par deux généraux vendéens, Lafont et Dahican. C'est juste! observèrent plusieurs voix.

Nous assistions aux représentations d'Orléans Lafont et Raucourt. Les jours l'on ne jouait pas, on faisait dans la cour d'honneur du château des parties aux quatre coins. Mlle Raucourt se mettait

À cette époque, nous avions quitté l'appartement de la rue Lafont,

Et dans un autre endroit chaque prince allemand devait naturellement se faire l'application de ces vers dits par Lafont avec une voix sombre: Vois l'empire romain tombant de toutes parts, Ce grand corps déchiré dont les membres épars Languissent dispersés, sans honneur et sans vie; Sur ces débris du monde élevons l'Arabie.

Buste. 1 Madame Davidoff, avec la main. 1 Pour le roi Charles X, le marquis de Rivière. Buste. 1 Le comte de Coëtlosquet. Buste. 1 Madame de Pront, nièce de M. de Coëtlosquet. 2 S. A. R. la duchesse de Berri, avec les mains. 1 Mademoiselle de Sassenay. Buste. 1 M. Raoul-Rochette. Buste. 1 M. Sapey. Buste. 1 Madame Lafont. 1 Mademoiselle de Rivière. 1 Alfred de Rivière, idem.

Bourgoin, ma fille, chasse Talma rue de Seine. C'est une jolie promenade qu'on nous fait faire; les pauvres chevaux en ont leur charge. Armand, Mars, rue de Richelieu; le beau Lafont, rue de Villedo; Fleury, rue Traversière.