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Mais!... s'il vous plaît!... prononcèrent en même temps plusieurs personnes que ce nouveau titre éblouissait. Mme Bézu, comme les autres, était sensible

Nous avons, derriere le bataillon sacre de la haine, cette immortelle multitude qui vivait deja quand Athenes florissait et qui votait l'exil d'Aristide, parce qu'Aristide heureux eblouissait trop de regards.

La double galerie, toute la salle, éblouissait des feux d'une myriade de diamants, d'une profusion d'ordres en pierreries sur les uniformes bleu et or et sur les habits noirs. C'étaient aussi de pâles et purs profils d'étrangères, des blancheurs sur le velours des loges et des regards altiers se croisant comme des saluts d'épées.

Le fait est que cette beauté éblouissait. Il y avait un rayonnement extraordinaire dans la blancheur lactée de son teint, contrastant avec la soie riche et lourde de ses admirables cheveux noirs.

Le sujet biblique de Moïse charmait leur naïve piété; la majesté de M. de Chateaubriand éblouissait leur imagination; le gracieux accueil de madame Récamier touchait leur candeur; elles emportaient en province des souvenirs pour toute une vie de retraite.

Comme Pascal était libre et insouciant, suivant avec sa belle compagne le grand chemin de Couvrechamps! Dans l'air un parfum enivrant flottait, la verdure des arbres éblouissait les yeux, la terre vibrait, élastique sous le pied.

Mais ce n'étaient pas les difficultés physiques qui arrêtaient la reine: elle comprenait parfaitement que la chose était possible, et c'est cette possibilité même qui faisait de l'espérance une flamme sanglante qui éblouissait ses yeux.

Qui ne connaissait, pour l'avoir rencontrée au Bois, Léontine Zalti, l'ancienne cantatrice, épouse et veuve du comte d'Andillot, la Zalti dont le luxe éblouissait Paris, il y a quelque vingt ans, la Zalti, comtesse d'Andillot,

Et la splendeur de l'airain, des casques étincelants, des cuirasses polies et des boucliers, éblouissait les yeux. Et il eût été impitoyable celui qui, loin de s'attrister de ce combat, s'en fût réjoui.

A cette époque, les compositions de Steibelt avaient la même vogue, la même popularité que la musique de chambre d'Ignace Pleyel, le compositeur de prédilection du public et des dilettantes, qui eut pour fils aîné Camille Pleyel, le fondateur de la grande manufacture de pianos. La sève mélodique qui affluait dans toutes les compositions de Steibelt charmait, éblouissait la foule des amateurs, incapables de saisir de sang-froid et en connaissance de cause les défectuosités de ces morceaux improvisés, les idées se succédaient, miroitaient comme les fantaisies bizarres d'un kaléidoscope. Compositeur et virtuose inégal, incorrect, Steibelt s'élevait jusqu'au génie dans ses heures d'inspiration, et parfois restait terre