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Je remercie mes chers et vaillants auxiliaires, ces excellents artistes que le public tous les soirs couvre de ses applaudissements. Je ne prononcerai aucun nom, car il faudrait les nommer tous. Je dis plus, commande. Vous venez de vous montrer non seulement la rivale, mais l'égale des trois grandes actrices, Mlle Mars, Mme Dorval, Mlle Favart, qui vous ont précédée dans ce rôle de doña Sol.

Vendredi 27 mars. Ce matin, Mme Favart revient avec Verlet, le régisseur de la troupe. Toute pleine de vivacité et d'entrain, la voici farfouillant dans les vieux journaux, y cherchant les éléments d'un historique de la pièce, qu'on distribuera dans la salle, quand tout

La critique de cet écrivain, injuste pour l'Odéon, Favart et quelques petits théâtres secondaires, me semble subsister ici dans toute sa force. Aussi un homme plus célèbre encore, Voltaire, reprochait

Lundi 9 mars. Lettre de Porel, qui m'apprend que l'Odéon a fait hier avec la matinée, près de 7 000. Lettre de Debry, agent de la société des auteurs dramatiques, qui m'annonce que Mme Favart accepte mes conditions pour une tournée en province.

[Note 13: Après l'incendie de leur théâtre de la salle Favart, les artistes italiens avaient été relégués provisoirement

Ces faibles créatures ne manquaient guère, par vanité, d'entretenir des femmes. Leurs actrices, chanteuses ou danseuses, les suivaient vaillamment dans leurs carrosses, avec leur train, coiffeurs et cuisiniers. L'officier, sa toilette faite, laissait le camp, allait au camp des femmes rire et causer. Le maréchal de Saxe n'en fit-il pas autant? est-ce qu'il n'avait pas sa Favart pour chanter avant la bataille? Mais ces dames n'auraient pas marché, si elles n'eussent trouvé

Malgré la touchante surveillance de ma mère, je m'échappai un soir de la maison. J'avais su que l'on donnait l'Enfance du Christ, de Berlioz, dans la salle de l'Opéra-Comique, rue Favart, et que le grand compositeur dirigerait en personne.

On connaît deux autres pièces de Sade qui furent reçues, la première, au Théâtre Français, en 1790 (le Misanthrope par amour, Sophie et Dufrasne) la seconde au théâtre Favart (l'Homme dangereux, ou le Suborneur). Ces comédies sont en vers; elles n'ont pas été imprimées. La Biographie universelle indique seize autres pièces de divers genres (il serait sans intérêt d'en donner les titres) dont les manuscrits restèrent entre les mains de la famille; elle mentionne un devis raisonné sur le projet d'un spectacle de gladiateurs,

Après quelques tentatives avortées, l'Opéra-Comique a rencontré enfin une mine féconde: la Part du Diable emplit quatre fois par semaine la jolie salle Favart, et vingt représentations ne paraissent pas encore avoir refroidi l'empressement du public. Plusieurs ouvrages nouveaux sont prêts ou ne tarderont pas

Concurremment avec ces représentations, le Théâtre-Français a donné, le 25 novembre, une matinée littéraire, dramatique et musicale, Mlle Favart a joué doña Sol (cinquième acte d'Hernani), et Mme Laurent, Lucrèce Borgia (cinquième acte de Lucrèce Borgia), Mme Ugalde a chanté Patria. Booz endormi (Légende des siècles); le Revenant (Contemplations), les Paroles d'un conservateur