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Je dépose deux respectueux comas sur vos fines mains royales, et suis, belle Aïmata, de Votre Majesté, le tititeou-teou, Hector Berlioz, l'un des juges des nations. Paris, le 18 octobre 1855. P. S. J'ai oublié de dire

Eh! Berlioz, voil

En 1861, c'est contre la bouffonnerie d'Offenbach que se déchaîne Berlioz. L'Opéra-Comique vient de jouer Barkouf. Le critique s'abandonne

»Nous ne nous connaissons pas, monsieur Berlioz; voulez-vous que nous fassions connaissance? Votre tête paraît être un volcan toujours en éruption; dans la mienne, il n'y eut jamais qu'un feu de paille qui s'éteint en fumant encore un peu. Mais enfin, de la richesse de votre volcan et des débris de mon feu de paille combinés, il peut résulter quelque chose. J'aurais

Ainsi commença la collaboration de Berlioz au Journal des Débats. Elle dura jusqu'en 1863. Pendant vingt-huit années, ce feuilleton fut pour le musicien un gagne-pain, une torture et une arme.

«Berlioz a mis de la littérature dans son affaire. C'est l'illustrateur musical de Shakespeare, de Virgile et de Goethe. Mais quel peintre! le Delacroix de la musique, qui a fait flamber les sons, dans des oppositions fulgurantes de couleurs. Avec ça, la fêlure romantique au crâne, une religiosité qui l'emporte, des extases par-dessus les cimes.

Hector Berlioz, avec sa nature impétueuse, fantasque, shakespearienne, a pris dans le poème allemand les scènes qui convenaient

Eh bien! comment t'appelles-tu? Il s'appelle Signol. Mieux que ça, Rossignol. Mauvais, mauvais le calembour! Absurde. Laissez-le donc s'asseoir! Qui? le calembour? Non, Berlioz. Ohé! Fleury, apportez-nous du punch... et du fameux; ça vaudra mieux que les bêtises de cet autre qui veut faire le malin. Enfin, voil

Hector Berlioz a eu déj

De mon perchoir, c'est bien le mot, j'applaudissais, avec une joie fébrile, l'ouverture du Tannhæuser, la Symphonie fantastique, enfin la musique de mes dieux: Wagner et Berlioz.