United States or Madagascar ? Vote for the TOP Country of the Week !


Ah! ma cousine a bien raison, dit celle-ci. Laissez Bess, papa. Pierre se chargera de la punir, et venez entendre une romance nouvelle que Rebecca chante divinement. Avec le plus vif plaisir, mon enfant, dit le major. Alors, donnez-moi votre bras! Oh! miss! supplia encore Elisabeth... Ernestine dédaigneusement lui tourna le dos et marcha vers son père.

Pas bien, répondit Pierre; et pourtant un peu moins mal que tantôt. Henri: Le pauvre père fait pitié; il pleure, il sanglote, il demande au bon Dieu de lui laisser son fils; il dit des choses si touchantes, que je n'ai pu m'empêcher de pleurer. Elisabeth: Nous allons tous prier avec lui et pour lui

Elisabeth était si pressée d'arriver auprès de ses parents, qu'elle voyageait la nuit et le jour; mais

A plus forte raison rentraient-ils facilement dans ce joyeux oubli de tout grand débat Elisabeth aimait

Madeleine: Moi, une crème au café. Elisabeth: Moi, des côtelettes. Pierre: Et, moi, une vinaigrette de veau froid. Henri: Moi, une salade de pommes de terre. Jacques: Moi, des fraises

Elisabeth Nikolaïevna semblait avoir oublié ma présence dans la chambre. Toujours debout

Est-ce qu'il a compris que le maître était un sot, et qu'un bonnet d'âne est le signe qui indique la sottise? Camille: Certainement, il l'a compris; il a bien assez d'esprit pour cela. Elisabeth: Ah! ah! ah! Tu dis cela parce qu'il t'a donné le bouquet comme

Ces soins maternels, si simples et si tendres, qu'Elisabeth reçoit tous les jours, et dont son coeur est tous les jours plus touché, émeuvent vivement le jeune Smoloff; il sent qu'il est impossible d'aimer Elisabeth sans aimer aussi sa mère, et qu'au bonheur d'être l'époux de cette jeune fille, tient un bonheur presque aussi grand, celui d'être le fils de Phédora.

Pierre: Certainement non, mais chacun a son goût, et le goût de Cadichon lui a fait choisir Camille. Elisabeth: Au lieu de parler de jolies ou de laides, nous devrions demander

Il n'y a d'affections tendres et profondes que celles qui se concentrent sur peu d'objets: aussi Elisabeth, qui ne connaissait que ses parents, et n'aimait qu'eux seuls dans le monde, les aima avec passion; ils étaient tout pour elle: les protecteurs de sa faiblesse, les compagnons de ses jeux, et son unique société. Elle ne savait rien qu'ils ne lui eussent appris: ses amusements, ses talents, son instruction, elle leur devait tout; et, voyant que tout lui venait d'eux, et que par elle-même elle ne pouvait rien, elle se plaisait dans une dépendance qu'ils ne lui faisaient sentir que par des bienfaits. Cependant, quand la jeunesse succéda