United States or Angola ? Vote for the TOP Country of the Week !


Je l'ai blessé! répéta dédaigneusement Steerforth. Il s'en consolera un de ces quatre matins, allez. Il n'a pas le coeur aussi sensible que vous, mademoiselle Traddles. Quant

Encore une fois, je suis le citoyen Fougueray! s'écria Diégo avec colère, car il craignait que quelque surveillant, en rôdant dans le corridor, n'entendît le marquis lui donner un titre qui entraînait alors le dernier supplice pour ceux qui le portaient. Philippe devina la pensée de son interlocuteur, mais il se contenta de hausser dédaigneusement les épaules.

Ah! vous qui jamais n'avez quitté le sol reposent les ossements de vos aïeux, vous qui méconnaissez vos trésors de tendresse pour ce sol dont parfois vous parlez dédaigneusement, vous tous qui vivez dans votre patrie, faites des voeux afin que la destinée ne vous ravisse point cette bonne mère, si belle, si riche, si généreuse, si indulgente pour ses enfants!

Oui, by Jesus-Christ! Tu l'as amenée avec toi? Est-ce que tu ne la vois pas? Par le tonnerre, non! Tu as la berlue, dit dédaigneusement Pad en haussant les épaules. Il se retourna pour montrer l'enfant qui était restée derrière lui. Mais elle s'était éclipsée. Au même instant, le bruit d'un corps qui tombe

M. Geri est de ces antiquaires cultivés qui ont, depuis quelques lustres, renouvelé et relevé ce qu'on appelait autrefois un peu dédaigneusement la brocante. Il a été, dix-huit années durant, le régisseur de la grande tragédienne italienne Eleonora Duse. Très aimablement il a exposé, en français élégant,

Quand j'arrivai au café Lemblin, poursuivit B. Mascarot, je n'y trouvai pas un seul élève de l'école. Le garçon auquel je m'adressai, me toisa d'abord dédaigneusement, mes vêtements tombaient en lambeaux. Mais lorsqu'il sut que j'étais un répétiteur, il daigna me répondre que ces messieurs étaient déj

J'ai encore la pièce dans ma poche, et dédaigneusement je la tends

Savez-vous bien ce que c'est qu'un Portugais? dit-il dédaigneusement; savez-vous ce que c'est qu'un ambassadeur, bourgeois que vous êtes? Non. Eh bien! je vais vous le dire. Un ambassadeur favori d'une reine, M. Potemkine, achetait tous les ans, au 1er janvier, pour la reine, un panier de cerises qui coûtait cent mille écus, mille livres la cerise; c'est joli, n'est-ce pas? Eh bien! M. de Souza achètera les mines du Brésil pour trouver dans les filons un diamant gros comme tous les vôtres. Cela lui coûtera vingt années de son revenu, vingt millions; mais que lui importe, il n'a pas d'enfants. Voil

Une serinette, votre phonographe! s'écrie dédaigneusement Yvernès. Pas tant que vous pouvez le croire, monsieur le violon solo, répond le surintendant. Nous possédons des appareils qui ont eu plus d'une fois l'indiscrétion de vous écouter, lorsque vous vous faisiez entendre

Car, il n'est que trop vrai, le nom même de M. Renan est devenu, aux yeux des esprits superficiels, synonyme de scepticisme et de dilettantisme, ces mots étant pris, d'ailleurs, dans leur sens le plus grossier. Beaucoup se le figurent comme une manière de bon vivant et de bon plaisant, qui se moque gravement de tout, et phénomène bizarre, retour absurde des choses d'ici-bas on dirait que le vulgaire lui prête un peu des traits de ce banal Béranger, dont M. Renan a, jadis, si durement et dédaigneusement traité la basse «théologie». Bref, il entre dans l'image que la foule se forme de lui nombre de traits aussi étrangers que possible