United States or Cambodia ? Vote for the TOP Country of the Week !


Moult m'est ce concord agreable Et que je te puis contenter Aussi monstre toy serviable Et va mon cas soliciter Se tu peulz une fois traicter L'appointement d'elle et de moy Je pourrai dire sans doubter Que tu seras femme de foy Hinc precor vigilet solercia nostra labor que Et ratione sua rem bene provideant

Elle me répliqua qu'il n'admèneroit poinct de gens de guerre, et qu'il n'yroit aulcunement contre voz pays ny subjectz, mais qu'il luy estoit besoing de se conduyre bien seurement pour doubte du duc d'Alve, qui l'avoit faict pilloriser en effigie, et ne failloit doubter qu'il ne le fît exécuter en personne, s'il le pouvoit prendre; et m'en parla en telle façon qu'elle ne me layssa moyen de l'en presser davantaige.

Espoir, Confort, Loyal penser, Que mes chiefs conseillers nommoye, Se firent fors, sans point doubter, Se par eulx je me gouvernoye, De me trouver chemin et voye D'avoir brief secours de doulceur, Avecques l'aide que j'auroye Par les trois estas de mon cueur. Prince, fortune me guerroye Souvent

Loyaulté soustient ma querelle, LE CUEUR. Qui lui fait faire sans doubter. Pensez doncques de bien l'amer. L'AMANT. Si feray je toute ma vie, LE CUEUR. Sans changier, de tout mon povoir. Bien doit estre dame cherie, L'AMANT. Qui loyaument fait son devoir.

Quant je lui dy qu'il ne se doit doubter, Car Fortune n'est pas si tres cruelle, Qu'elle voulsist hors de ce monde oster Celle qui est des princesses l'estoille, Qui partout luist des biens dont est garnie; Il me respond; qu'il est fol qui se fie En Fortune qui a fait

Cuidez vous scavoir sans doubter Par ung regart tant seulement, Se, dis je, du tout son penser Ou par ung doulx acointement. Taisiez vous, dist il, vrayement Je ne croiray chose qu'on die; Mais la serviray en tous lieux, Car de tous biens est enrichie, Ainsi m'ont raporté mes yeulx.

Je n'ay peu, ny vollu, doubter que Vostre Majesté n'ayt pareille estime de l'amytié du Roy, Mon Seigneur, que le Roy l'a toutjour eue de la vostre, estant les deux cogneues importer grandement au proffict et utillité de l'ung et de l'aultre.

Chose licite est escouter Et rendre responce aux pucelles Touteffois ilz doyvent doubter Qu'on ne touche point l'honneur d'elles Par moyen en parolles belles Respondre a ce qu'on parlera Car porteurs de faulces nouvelles Sont prestz d'ouyr ce que on dira Verbula si dederis ludendo verbula reddam Sed si forte nocent hec tibi non patiar.

Adont luy respondit le clerc, quant il eut celle estoille veue; aucunes choses dist et d'aucunes se tut. Et l'empereur qui bien s'en apperceut luy dit lors: «Une chose y a, dont tu ne parles mie. Car je scay bien que ce signifie mort de princes et mutacion de règneLe clerc luy mist avant l'authorité du prophète pour lui appaisier, qui dist ainsi: N'aies paour des signes du ciel qui les gens espouvantent . Et l'empereur respondit par grant sens et par grand fermeté de cuer et de foi: «Nous ne devonsdit-il, «nulle riens doubter tant comme celluy qui créa l'estoille. Et nous-mesmes ne povons pas assez louer merveiller sa débonnaireté qui nous daingne admonester par tels signes, pour que nous qui sommes pécheurs et sans repentance, nous retraions de nos péchés. Et pour ce que ce signe touche moy et tous les autres, chascun se devroit efforcer de sa vie amender, que nos péchiés ne nous tollent

«Sur toutes ces raisons je ne sçaurois presque doubter qu'il ne prenne une bonne et forte résolution de s'appliquer tout de bon et faire connoistre par ce moyen au roy qu'il sera bientost capable de le bien servir. «Pour luy bien faire connoistre ce qu'il doibt faire pour cela, il doibt sçavoir par cœur en quoy consiste le département de ma charge,