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Cet échec n'y fit rien. Pendant plus de trois siècles, avec une persévérance étonnante, les explorateurs s'y acharnent. C'est une succession de martyrs. Cabot, le premier, n'est sauvé que par la révolte de son équipage qui l'empêcha d'aller plus loin. Brentz meurt de froid, et Willoughby de faim. Cortereal périt, corps et biens. Hudson est jeté par les siens, sans vivres, sans voiles, dans une chaloupe, et l'on ne sait ce qu'il devient. Behring, en trouvant le détroit qui sépare l'Amérique de l'Asie, périt de fatigue, de froid, de misère, dans une île déserte. De nos jours, Franklin est perdu dans les glaces; on ne le retrouve que mort, ayant eu, lui et les siens, la nécessité terrible d'en venir

Cortéreal, Verrazzano, Cabot, Pizarre, Cortez, Magellan, Alvarez de Cabral, Vasco de Gama, Americus Vespuce, n'ont pas eu la pensée grandiose de Jacques Cartier. A l'encontre de ses rivaux illustres en gloire humaine, découvreurs comme lui de continents, fondateurs de républiques ou d'empires, le navigateur français estima qu'il valait mieux chercher tout d'abord le chemin du ciel avant de trouver la route de la Chine. Et tandis que l'Espagne, le Portugal, l'Angleterre se disputaient

Cette île, signalée par Sébastien Cabot en 1497, sous Henri VII, fut visitée en 1500 par un navigateur portugais nommé Cortéréal. C'est de l

Las Casas, Al. Trois ans après le voyage de Cabot, il paraît que les côtes de Terreneuve et de Labrador furent visitées par un Portugais nommé Cortéréal; mais il n'y fit point d'établissement, du moins rien ne l'indique.

[Note 15: Il y succomba pareillement, et son frère, l'aîné des trois, Vasqueanes Cortereal, gouverneur de Terceire, fit armer, en 1503, une caravelle

Enfin, inaugurant la série des navigateurs qui s’aventurèrent au milieu des régions arctiques, il convient de citer encore le Vénitien Cabot ­ 1498 ­ et le Portugais Corteréal ­ 1500 ­ qui découvrirent le Groënland et le Labrador. Mais ni l’Italie ni le Portugal, n’avaient eu la pensée de prendre part

Les Portugais, braves et entreprenants plus encore que les Espagnols, s'il est possible, cherchaient de leur côté le secret du détroit. Les deux voyages de Gaspar Cortereal, l'un en 1500, l'autre en 1501, étaient dirigés vers le nord, afin de découvrir le passage du nord-ouest ou de l'Océan Atlantique au Grand-Océan boréal, que depuis trente ans les Anglais ont recommencé