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Cet échec n'y fit rien. Pendant plus de trois siècles, avec une persévérance étonnante, les explorateurs s'y acharnent. C'est une succession de martyrs. Cabot, le premier, n'est sauvé que par la révolte de son équipage qui l'empêcha d'aller plus loin. Brentz meurt de froid, et Willoughby de faim. Cortereal périt, corps et biens. Hudson est jeté par les siens, sans vivres, sans voiles, dans une chaloupe, et l'on ne sait ce qu'il devient. Behring, en trouvant le détroit qui sépare l'Amérique de l'Asie, périt de fatigue, de froid, de misère, dans une île déserte. De nos jours, Franklin est perdu dans les glaces; on ne le retrouve que mort, ayant eu, lui et les siens, la nécessité terrible d'en venir

Lesdits explorateurs ou voyageurs, pour une raison ou pour une autre, avaient laissé l

Toutefois, l'île Victoria n'avait encore éprouvé aucun changement de quelque importance dans sa configuration générale. Des reconnaissances étaient journellement faites, mais les explorateurs ne s'aventuraient plus qu'avec une extrême circonspection, car,

En attendant, la situation des explorateurs était assez mauvaise. Il leur fallait, au milieu de profondes ténèbres, suivre pendant environ cinq milles la galerie qui conduisait

Sur la Grande Barrière ensuite, les explorateurs furent retardés par la maladie d'Oates. Sous les atroces blizzards qui constamment s'abattaient sur eux, combien lents devinrent alors leurs progrès: 15 kilomètres par jour au maximum, souvent même 5 seulement!

Après avoir suivi sur un espace de deux milles la galerie principale, les trois explorateurs on verra qu'il s'agissait d'une exploration arrivèrent

Jimmy Hare n'est pas, selon sa propre expression, un de ces «pousse-boutons» comme vous ou moi, et un tas d'autres, reporters, voyageurs, explorateurs et, par-dessus le marché, photographes, qui, partant d'un pied léger

Le lendemain, 24 décembre, malgré les fatigues de la veille, l'opération fut reprise. La corvette se déplaça de quelques minutes dans l'ouest, et l'appareil, pourvu d'air, entraîna de nouveau les mêmes explorateurs dans les profondeurs de l'Océan. Toute la journée se passa en infructueuses recherches. Le lit de la mer était désert. La journée du 25 n'amena aucun résultat. Aucun, celle du 26.

«Les explorateurs aux ordres de John Mac Douall Stuart sont arrivés ici le 25 juillet 1862, après avoir traversé toute l

Un miracle m'avait sauvé la vie, mais mon voyage n'avait été qu'une série d'imprudences, faites par un fou, auxquelles je n'avais pu parer! Que ce terrible récit, en instruisant ceux qui me lisent, ne décourage donc pas les explorateurs des routes de l'air!