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Giambat. Corniani, ut. supr. L'école fondée en France par Lanfranc et par Anselme, devint une pépinière féconde d'hommes instruits, non seulement pour la France, mais pour l'Italie, d'où un grand nombre de jeunes gens y accouraient prendre des leçons. Les auteurs de notre Histoire littéraire relèvent avec un orgueil très-pardonnable ces secours que l'Italie recevait de la France ; mais ils oublient trop peut-être que les deux chefs de cette fameuse école étaient Italiens, et que ce fut encore

Corniani, t. Barthole eut pour disciple, et ensuite pour rival, le célèbre Balde, fils d'un médecin de Pérouse. On raconte beaucoup de traits de cette rivalité, qui seraient peu honorables pour le caractère de Balde. Des écrivains sages les révoquent en doute, et il vaut mieux en douter avec eux que d'y croire . Balde fut professeur

Giamb. Corniani, Secoli della Lett. ital., etc., t. I, p. 65.

Giamb. Corniani, i Secoli della Letteratura italiana, etc. Brescia, 1804, t. I, p. 133.

Voy. Tirab., ub. supr., p. 232. Voy. aussi M. Giamb. Corniani, dans l'ouvrage intitulé, I Secoli della Letteratura italiana dopo il suo Risorgimento, t, I, p. 54. Tirab., loc. cit. Giambat. Corniani, ub. supr., p. 57.

Il y dit, vol l, p. 196, qu'il n'est pas improbable que l'idée de l'introduction du poëme ait été suggérée au Dante par le Tesoretto de son maître Brunetto Latini; mais l'ouvrage de M. Corniani n'a été imprimé qu'en 1804; et c'était au commencement de cette même année que j'écrivais ceci, et que je le lisais publiquement.

Sa famille était si obscure qu'on n'en sait pas même le nom. Ce fut lui même qui se donna celui d'Accursius, comme il le dit dans un endroit de sa glose, parce qu'il était accouru pour dissiper les ténèbres du droit civil. Giamb. Corniani, i secoli della Lett. ital., t. I, p. 86.

Un seul auteur italien l'a soupçonné, c'est M. Giam. Corniani, dans ses Secoli della Letter. ital.

Corniani, I secoli della Letter. ital., t. [Note 229: Le Vocabolario Cateriniano, qui fut alors lacéré et brûlé

XXIII, observe qu'on doit réunir ces deux recueils, les lettres de l'un n'étant pas les mêmes que celles de l'autre. V, p. 497; Mazzuchelli, notes sur Philippe Villani; l'abbé Mehus, Vit. Ambr. Camald., et dernièrement M. J. B. Corniani, I secoli della Letter. ital. t.