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Candale, en 1649, avoit failli devenir le neveu de Mazarin. C'étoit une affaire qui paroissoit arrangée (Omer Talon, collect. Michaud, p. 393; Motteville, collect. Petitot, t. 4, p. 356); mais Condé ne le voulut pas permettre (Voy l'Histoire de Condé de Pierre Coste): ce fut Conti, le frère de Condé, ce

J'ai reçu une lettre que m'a écrite le général Colli, qui commande l'armée du roi de Sardaigne, j'espère que la réponse que je lui ai faite (Voy. pag. 13) sera conforme

Son hostel, de noir de tristesse, Est tendu; quant dedens je vien, J'y voy l'istoire de destresse Qui me fait changer mon maintien, Quant la ly, et maint mal soustien; Espargnée n'est creature, Puisque c'est le cours de nature.

Un semblable dessein n'en veut pas davantage. Je voulois éprouver ton sens, & ton courage. Mon zele?.... Il m'est connu, va viste, & sois adroit. Seigneur.... Je la voy bien, va, disje, & soit secret.

III, p. 31, X; mais comme elle a été écrite du vivant du duc Alexandre, qui fut assassiné le 6 janvier 1536 Voy. Vasari, t. X, p. 166, et l'histoire de Vaschi, liv. XV, p. 590, et Bottari, t. V, p. 220, ad notam, elle doit être des derniers mois de 1535. En parlant de ce travail dans sa biographie, t.

[Note 143: Voy. Biblioth. de l'école des Chartes, t. VII, p. 363, rapport publié par M. Douët d'Arcq. Ce texte est reproduit dans les

[Note 641: Voy. les Lettres du Poussin, publiées par M. Quatremère de Quincy. Paris, Didot, 1824, in-8, p. 2 et 8. La première lettre

Girant de Calanson; il était de Gascogne, et n'est connu lui-même que sous le titre de jongleur. Voy. Millot, t. II, p. 28. Sans doute des singes. Lisez le manicorde ou manichordion: c'était une sorte d'épinette.

[Note 18: Voy. par exemple le Pol. Litt. Kurier du 17 janvier 1791. Dans la Déclaration du procureur-général syndic du département, etc. (s. l. ni d.), publiée quelques jours plus tard, M. de Schauenbourg n'explique aucunement son attitude ambiguë, mais nous fournit d'abondants témoignages de son antipathie pour M. de Dietrich. Il va jusqu'

Voy. [Note 355: Raoul Glaber: «Dans la suite des temps naquit, près de Troyes, un homme de la plus basse classe des paysans, nommé Hastings. Il était d'un village appelé Tranquille,