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Dans ses deux concertos pour piano et orchestre, Liszt a certainement fait preuve de grand savoir,

Ajoutons encore que, malgré leur mérite très réel et leur incontestable valeur musicale, les compositions de Cramer ont vieilli et sont bien plus démodées que celles de Clementi et de Dussek. Suivant le terme consacré, elles ont un air «poncif» qui les fait négliger malgré tout l'intérêt qu'elles commandent. Citons pourtant, parmi les œuvres restées au répertoire courant de l'enseignement scolastique, les 7 concertos pour piano et orchestre. On ne peut refuser

Ces œuvres nombreuses n'ont pas toutes une égale valeur. Plusieurs ont singulièrement vieilli et nous semblent d'un médiocre intérêt; mais, tout en faisant une large part aux fluctuations du goût et de la mode, en tenant compte de quelques formules surannées, Dussek est un des rares maîtres de l'époque dont la musique soit demeurée au répertoire de l'enseignement classique. Les 3e, 5e, 6e, 7e et 12e concertos, les sonates: op. 9, 14, 35, 48, le Retour

La passion des voyages et le désir d'affirmer sa valeur de virtuose, lui firent visiter toutes les grandes villes du continent. Son exécution si correcte, si pure, excita partout l'admiration des musiciens de goût, qui apprécièrent son style simple et noble, sa belle manière de faire chanter le piano. De retour en Angleterre, il écrivit de nombreuses compositions, sonates, concertos, rondos, marches, airs variés, fantaisies, nocturnes, bagatelles, valses, et aussi des duos

Les compositions de Henri Herz sont nombreuses, très variées de style, et embrassent tous les degrés de force. Il faudrait un long catalogue pour énumérer celles qui méritent d'être signalées plus particulièrement. L'œuvre du maître comprend deux cent cinquante numéros; tout choix dans cette immense collection nécessite d'inévitables et douloureux sacrifices. Signalons, parmi les morceaux les plus populaires, des variations sur la Cenerentola, sur la Violette, sur ma Fanchette, sur la romance de Joseph, le Petit Tambour, la Famille suisse, le Siège de Corinthe, les fantaisies sur l'Ambassadrice, sur le Domino, la Fille du régiment, Otello, le Pré aux Clercs, le Landler viennois, etc. Les huit concertos sont une œuvre considérable, la noblesse du style s'unit

Parmi mes œuvres écrites durant cette saison, je mentionnerai le concerto pour piano en «ut dièze minsur un thème russe, choisi sur le conseil de Balakirev. Suivant les procédés employés, mon concerto imitait en quelque sorte les concertos de Liszt. Il possédait une belle résonance et n'était pas moins satisfaisant au point de vue de la facture, ce qui a bien étonné Balakirev.

Ne se contentant pas toujours de cadres dont il était libre de dessiner les contours si heureusement choisis, par lui, Chopin voulut quelquefois enclaver aussi sa pensée dans les classiques barrières. Il écrivit de beaux Concertos et de belles Sonates; toutefois, il n'est pas difficile de distinguer dans ces productions plus de volonté que d'inspiration. La sienne était impérieuse, fantasque, irréfléchie; ses allures ne pouvaient être que libres. Nous croyons qu'il a violenté son génie chaque fois qu'il a cherché

Les concertos fantastique, pathétique, pastoral, renferment aussi de belles pages, mais n'ont pas la grande ordonnance et la clarté des cinq premiers. Le sextuor et le grand septuor pour piano, violon, flûte, clarinette, violoncelle et contre-basse, peuvent être exécutés

On donne au théâtre un concert mêlé de médiocre et de mauvaise musique; le programme est bourré de cavatines italiennes, de fantaisies pour piano seul, de fragments de messes, de concertos de flûte, de Lieder avec trombone solo obligé, de duos de bassons, etc. Les conversations sont, en conséquence, fort animées sur tous les points de l'orchestre. Quelques musiciens dessinent. On a mis au concours la reproduction au crayon de la scène de Lablache, disant sur le seuil de la porte au provincial qui demande Tom-Pouce: «C'est moi, monsieurKleiner l'aîné obtient le prix. Ceci le console un peu de sa vexation de la veille. En arrivant, je regarde le programme. «Diable! nous avons ce soir une formidable quantité de cauchemarsAh! cauchemar! voil

Field a encore laissé dans son œuvre, en outre des 18 nocturnes, 7 concertos pour piano et orchestre. Le premier, de force moyenne, est, dans son ensemble, d'un style charmant et gracieux. Les 2e, 3e, 4e sont des compositions de grande valeur; les phrases de chant ont de l'inspiration et de la noblesse; les traits légers, brillants, offrent une grande élégance; et ces concertos peuvent se placer parmi les meilleurs de l'école moderne du piano; nous ne disons pas de l'école actuelle dont les tendances sont au concerto symphonique. Les 5e, 6e, 7e concertos nous plaisent beaucoup moins. Il y a de belles pages et certaines ingéniosités, mais le style est décousu; ce sont des fantaisies d'un caractère indécis le plan et la facture laissent