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Antomarchi se retira. Le soir, il aperçut la duchesse de Parme au théâtre, l'on jouait la Cenerentola. «Ce n'était plus ce luxe de santé, cette brillante fraîcheur dont Napoléon l'entretenait si souvent. Maigre, abattue, défaite, elle portait la trace des chagrins qu'elle avait essuyés. Elle ne fit, pour ainsi dire, qu'apparaître. Mais je l'ai vue. Cela me suffisaitCe n'étaient pas les chagrins qui l'avaient ainsi changée, ni les pleurs qu'elle donnait

Una volta, e due, e tre! Le chant de ces mots me semble parfaitement trivial. A ce moment, la musique de la Cenerentola commence toujours

Les compositions de Henri Herz sont nombreuses, très variées de style, et embrassent tous les degrés de force. Il faudrait un long catalogue pour énumérer celles qui méritent d'être signalées plus particulièrement. L'œuvre du maître comprend deux cent cinquante numéros; tout choix dans cette immense collection nécessite d'inévitables et douloureux sacrifices. Signalons, parmi les morceaux les plus populaires, des variations sur la Cenerentola, sur la Violette, sur ma Fanchette, sur la romance de Joseph, le Petit Tambour, la Famille suisse, le Siège de Corinthe, les fantaisies sur l'Ambassadrice, sur le Domino, la Fille du régiment, Otello, le Pré aux Clercs, le Landler viennois, etc. Les huit concertos sont une œuvre considérable, la noblesse du style s'unit

Après Le Siège de Prague, il joua La Cenerentola; après La Cenerentola, la grande ouverture de La Vestale; et puis, comme il ne savait plus que jouer, et que Sûzel disait toujours: «Oh! que c'est beau, monsieur Kobus! Oh! quelle belle musique vous faitesil s'écria: «Oui, c'est beau; mais si je n'étais pas enrhumé, je te chanterais quelque chose, et c'est alors que tu verrais, Sûzel!

Le public de Trieste fut de cet avis; car, au lieu de trente représentations de la Cenerentola que madame Pasta devait donner, il en exigea cent. Malgré le talent des acteurs et l'enthousiasme du public, chose si nécessaire au plaisir musical, la Cenerentola ne me fit aucun plaisir.

Les chefs-d'œuvre de la première manière de Rossini, le Barbier, la Cenerentola et tant d'autres, perdent

Le duetto de Ramire, le prince déguisé de la Cenerentola , me console un peu de la cavatine de don Magnifico; cette grâce est encore un peu celle des Nina de la rue Vivienne, mais tout plaît dans une jolie femme, et la beauté fait oublier le ton vulgaire. Il y a du charme dans Una grazia, un certo incanto; je trouve beaucoup d'esprit dans Quel ch'è padre non è padre * Sta a vedere che m'imbroglio

Le grand air de la fin, chanté par la Cenerentola, est un peu plus qu'un air de bravoure ordinaire; on y trouve quelques lueurs de sentiment: Perchè tremar, perchè? ............. Figlia, sorella, amica, Padre, sposo, amiche! oh istante!

J'ai entendu pour la première fois la Cenerentola

La Cenerentola est de 1817; Rossini l'écrivit