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[Note 84: Ouvrages (en dehors de ceux qui seront mentionnés plus tard): Tardieu, Des attentats aux moeurs, édit., 1878, p. 210 Hoffmann, Lehrb. d. ger. Med., édit., p. 170, 887. Glay Revue philosophique, 1881, nº1. Magnan, Annal. méd.-psychol., 1885, p. 558. Shaw et Ferrin, Journal of nervous and mental disease, 1883, Avril, 2. Bernhardi, Der Uranismus, Berlin (Volksbuchhandlung), 1882 Chevalier, De l'inversion de l'instinct sexuel, Paris, 1885. Ritti, Gaz. hebdom. de médecine et de chirurgie, 1878, 4 janvier. Tamassla, Rivista sperim., 1878, p. 97-117. Lombroso. Archiv. di Psychiatr., 1881. Charcot et Magnan, Archiv. de Neurologie, 1882, nos 7, 12. Moll, Die conträre Sexualempfindung, Berlin, 1891. Chevalier, Archives de l'anthropologie criminelle, t. V, 27; t. VI, 31. Reuss, Aberrations du sens génésique (Annales d'hygiène publique, 1896). Saury,

Le Times du 23 mars écoulé publie une remarquable lettre d'un des plus notables chefs du pangermanisme teuton, le général von Bernhardi.

Le même général von Bernhardi disait aussi, avant 1914: «La guerre est un instrument de progrès, un régulateur de la vie de l'humanité, un facteur indispensable de civilisation, une puissance créatrice. C'est une erreur de penser qu'il ne faille jamais rechercher ou provoquer une guerre. Il ne faut pas voir dans la guerre les calamités physiques qu'elle entraîne, pas plus qu'il ne faut déplorer le mal que fait un chirurgien, sans penser aux conséquences d'une haute portée qu'aura l'opération. C'est

Si l'on doutait encore de l'issue certaine du gigantesque conflit qui met aux prises les principales puissances européennes et qui les ruine, on verrait clairement de quel côté penche la balance, en comparant le von Bernhardi doucereux et pacifique d'aujourd'hui, avec le von Bernhardi belliqueux et sans scrupules d'hier.

Ce tableau de la mentalité pangermaniste que nous présente von Bernhardi, après les échecs et les mécomptes que la triplice austro-germano-turque a subis depuis huit mois, est bien différent de celui que le même général nous offrait, il n'y a pas longtemps, au sujet des devoirs et des besoins de l'empire.

Il combat les jugements passionnés et superficiels qui ne veulent voir dans une nation que ce qu'elle a de pire: dans l'Allemagne, l'esprit des Treitschke ou des Bernhardi, et le crime de l'occupation de la Belgique; dans l'Angleterre, la politique de Joe Chamberlain et de Cecil Rhodes, et la guerre des Boërs. Peut-on justifier l'impérialisme? A. Les tenants de l'impérialisme

Mais nous attirons l'attention sur la déclaration des principes et des sentiments que M. von Bernhardi donne aujourd'hui, comme étant ceux de toute la partie dirigeante de la nation et de l'Empire allemand et qui ont toujours inspiré sa politique. M. von Bernhardi s'exprime ainsi

Le général allemand von Bernhardi, après avoir émis l'opinion que l'Allemagne, voyant sa population augmenter sans cesse, serait acculée