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Grands dieux! En quelle terre de barbares sommes-nous venus d'un vol rapide? A travers l'æther fendant ma route, j'y place mes pieds ailés, moi Perseus, me dirigeant vers Argos, je porte la tête de la Gorgôn. Que dit-il? Tu parles de la tête de Gorgo, un scribe? Je dis, moi, la tête de la Gorgôn. Et moi aussi je dis Gorgo. Soit!

[Note 139: Dans une note de l'avertissement qui précède son Siége de Corinthe, il dit: «Je visitai ces trois villes (Tripolitza, Napoli et Argos) en 1810-11; et durant mes diverses excursions dans le pays, depuis mon arrivée en 1809, je traversai l'Isthme huit fois en passant de l'Attique en Morée, par les montagnes, ou dans l'autre direction, lorsque j'allais du golfe d'Athènes

[Note 261: Argos, 31 juillet 1792. Schneider en avait fait paraître le premier numéro le 3 juillet. Il n'avait d'ailleurs, de son propre aveu, que 200 abonnés

Et la vénérable Hèrè aux yeux de boeuf lui répondit: Certes, j'ai trois villes qui me sont très chères, Argos, Spartè et Mykènè aux larges rues. Détruis-les quand tu les haïras, et je ne les défendrai point; mais je m'opposerais en vain

Cet usage est attesté, pour Athènes, par Xénophon, Gouv. d'Ath., 2; le Scholiaste d'Aristophane, Nuées, 393; pour la Crète et la Thessalie, par des auteurs que cite Athénée, IV, 22; pour Argos, par une inscription, Boeckh, 1122; pour d'autres villes, par Pindare, Ném., XI; Théognis, 269; Pausanias, V, 15; Athénée, IV, 32; IV, 61; X, 24 et 25; X, 49; XI, 66. Plutarque, Solon, 24. Athénée, VI, 26.

Il parla ainsi, et Diomèdès brave au combat fut joyeux, et il enfonça sa lance dans la terre nourricière, et il dit avec bienveillance au prince des peuples: Tu es certainement mon ancien hôte paternel. Autrefois, le noble Oineus reçut pendant vingt jours dans ses demeures hospitalières l'irréprochable Bellérophontès. Et ils se firent de beaux présents. Oineus donna un splendide ceinturon de pourpre, et Bellérophontès donna une coupe d'or très creuse que j'ai laissée, en partant, dans mes demeures. Je ne me souviens point de Tydeus, car il me laissa tout petit quand l'armée des Akhaiens périt devant Thèbè. C'est pourquoi je suis un ami pour toi dans Argos, et tu seras le mien en Lykiè quand j'irai vers ce peuple.

Le poète a dédié son livre aux Grâces décentes: Il ne demande point en don l'or indien, Ni la blanche Chrysé, ni les troupeaux qu'engraisse Dans ses riches sillons, la vieille Argos, ni rien Que la mesure en tout de l'aimable sagesse. Charités aux coeurs purs, écoutez mes prières!

[Note 291: Argos, 30 oct. 1792. Il faut remarquer cependant que dès lors, depuis son séjour

Et moriens, reminiscitur Argos. On voit par cette citation comme, dans la littérature ancienne, le regret de la patrie, chez un mourant, est pris dans ce que la patrie a de plus général, de moins défini. Or,

Et ceux qui habitaient Argos et la forte Tiryntha, Hermionè et Asinè aux golfes profonds, Troixènè, Eiôna et