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Dame, quand on a trimé toute la journée. J'ai crié la Patrie, la Presse, le Soir, j'en ai la gueule abîmée. Quand j'aurai cassé ma croute, je me mettrai dans le plumard. Bonsoir la compagnie. T'en as pas de plumard. Pas de plumard? Venez-y voir. Je m'en suis fait un de plumard, avec des sacs et des copeaux.

En sortant de la mairie, le général Cambronne et ses quarante grenadiers se rencontrèrent avec un bataillon envoyé de Grenoble pour leur fermer le passage. Cambronne voulut parlementer, et ne fut point écouté. L'Empereur, informé de cette résistance, se porta sur le champ en avant; sa garde, abîmée par une longue marche

J'étais abîmée dans ces réflexions, lorsque j'entendis ouvrir la grande porte; M. Bates sortit avec la garde-malade. Lorsque celle-ci se fut assurée que le médecin était monté sur son cheval et reparti, elle se prépara

Fouché croit qu'il s'en tirera; il se trompe; il sera pendu comme les autres, et il l'aura mieux mérité: la France est abîmée, est perdue! Je voudrais être mort

Après le départ de M. Cébronne, Gertrude pleura longtemps, abîmée dans une douleur que sa mère contemplait avec désespoir. Ainsi c'est vrai!... tu l'aimes! ma pauvre enfant! Mme Deplémont, femme intelligente et distinguée, dont les épreuves n'avaient pas abattu l'énergie, perdait cependant son courage en pensant

Mathilde demeura abîmée, incapable de se livrer

Cabrion! encore ce gueux de peintre! s'écria Mme Pipelet. Alfred en a tant rêvé toute la nuit qu'il m'a abîmée de coups de pied. Ce monstre-l

Pendant qu'Ursule était abîmée dans ses réflexions, pendant que Gontran lisait la lettre qu'Ursule lui avait répondue et que la malheureuse femme croyait m'avoir remise, je lisais, moi, cette lettre de mon mari qui avait motivé celle de ma cousine.

A grands coups les cuisses casser, 9613 Ou les épaules dépécer, Si je vous laisse vers eux rendre. Mais si je puis avant l'apprendre Que cela ne soit advenu, Et si mon bras n'est retenu, Et si ce bâton l'on ne m'ôte , Je vous veux briser mainte côte. Ami, ni voisin, ni parent, Ni même votre beau galant Ne sauraient mater ma colère. Maudite soit l'heure naguère pour mon malheur je vous vis Qui me tenez en tel mépris! Or ces ribauds, chiens détestables, Parce qu'ils sont flatteurs, aimables, Sont de vous maîtres et seigneurs. A moi, vous devez vos faveurs, Par qui vous êtes soutenue, Nourrie et chaussée et vêtue; Sans pudeur vous m'associez Tous ces ribauds, vils putassiers, Qui vous ont de honte abîmée Et ravi votre renommée, Mais garde guère n'y prenez, Quand dans vos bras vous les tenez. Comment que chacun d'eux vous serve, Je connais bien toute leur verve; Devant ils vous aiment tout plein, Derrière ils vous nomment putain, Et disent ce que pis leur semble Une fois qu'ils sont seuls ensemble. Et vraiment trop le méritez Quand

»Puis se relevant, il se tourna vers moi et ajouta: » Enfant! aime ton père, aime ta mère, et tu seras digne d'être homme! »Un instant après, mon père et l'étranger s'étaient enfermés dans le cabinet de travail. »J'aurais bien désiré interroger ma mère, mais elle s'était abîmée dans ses réflexions. Je ne l'osai pas.