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Dans cette rue était l'église Saint-Jacques-la-Boucherie, dont la fondation remonte au XIe siècle et qui tirait son surnom de la grande boucherie de la ville, située près du Châtelet. Elle avait été rebâtie en 1250 et en 1520. Comme elle se trouvait située dans le quartier le plus commerçant de Paris, elle était le siége des confréries des bouchers, des peintres, des chapeliers, des armuriers, des bonnetiers, et l'on pouvait dire que c'était l'église la plus bourgeoise de Paris, la plupart de ses nombreuses chapelles ayant été fondées par des bourgeois, et ses murs étant couverts d'inscriptions, d'épitaphes, de donations bourgeoises. Parmi ces donations, il y en avait des touchantes, surtout celles qui avaient été faites par des femmes: L'une établissait une école et catéchisme pour les orphelins; l'autre fondait des messes «pour les pauvres âmes des suppliciésune troisième donnait des toiles pour l'ensevelissement des pauvres, etc. Parmi les bienfaiteurs de Saint-Jacques-la-Boucherie, il en est deux qui y avaient leur sépulture dans de belles chapelles et dont les noms méritent une place distinguée dans l'histoire de Paris: ce sont les bourgeois Colin Boulard et Nicolas Flamel. Le premier était un marchand qui demeurait au coin des rues de la Vannerie et Planche-Mibray,

Rue Neuve-de-Richelieu et place Sorbonne. Robert Sorbon, chapelain de saint Louis, ayant fondé en 1250, avec l'aide de ce prince, un collége pour les pauvres clercs, ce collége devint la Faculté de théologie, et une sorte de tribunal qui rendit de grands services

Défense de la papauté: Dame Gormonde, de Montpellier. Diez place aux environs de 1250 le début de la dernière période de la poésie provençale, de la période de décadence. Cette date est trop tardive; la décadence a commencé plus tôt et les germes en sont de plus en plus visibles pendant la première moitié du XIIIe siècle.

Rue des Poulies et place du Louvre. Dans cette rue, aujourd'hui presque entièrement reconstruite, était l'hôtel d'Alençon, bâti en 1250 par Alphonse, comte de Poitiers, frère de saint Louis, et qui fut possédé par le comte d'Alençon, fils de ce même roi. Après lui, il eut pour possesseurs Enguerrand de Marigny, Charles de Valois, le marquis de Villeroy, Henri III, le duc de Retz, la duchesse de Longueville. C'est l

Le 13 décembre 1250. Essai sur les Mœurs, etc., c. 53.

[Note 130: Par une singulière coïncidence, en 1250, une femme succédait, pour la première fois,

[Note 1250: Récit d'un voyage dans le Galloway fait avec Burns et communiqué par Mr John Syme

[Footnote 556: Par une singulière coïncidence, en 1250, une femme succédait, pour la première fois,

Rue Mauconseil. Elle existait en 1250 et tirait son nom d'un de ses habitants. Elle prit en 1790 celui de Bon-Conseil et le donna