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Ils tâchaient de comprendre les symboles sculptés sur les chapiteaux, comme les deux griffons de Marigny becquetant un arbre en fleurs. Pécuchet vit une satire dans les chantres

MM. de Lescure et de Marigny partirent, montés sur d'excellens chevaux. A peine étaient-ils sortis; que je vis arriver un patriote de Bressuire, qui se glissait tout tremblant dans le château, en répétant: «Ils y sont! ils y sont! Quoi? lui dis-je. Les brigands sont

Au coin de l'avenue de Marigny, notre voiture fut obligée de s'arrêter quelques instants. Un pauvre, d'une figure hideuse et difforme, s'approcha et demanda l'aumône. Gontran, je crois, ne l'entendit pas; le mendiant jeta sur nous un regard de courroux et nous dit avec un geste menaçant, au moment notre voiture repartit: Ces riches! ils sont bien fiers, ils sont si heureux!

Kléber objecte en vain que les troupes de Westermann, démoralisées par l'événement de la veille, ne tiendront pas, les représentans insistent, et l'attaque est résolue pour le lendemain. Le lendemain, en effet, le mouvement s'exécute. Westermann et Marigny sont prévenus et assaillis par l'ennemi. Leurs troupes, quoique soutenues par un renfort, se débandent. Il font des efforts inouis pour les arrêter; ils réunissent en vain quelques braves autour d'eux, et sont bientôt emportés. Les Vendéens, vainqueurs, abandonnent ce point, et se portent

Après avoir vu M. de Marigny, mon premier soin, en arrivant

C'était un affreux spectacle que cette déroute: les blessés qui ne pouvaient se traîner, se couchaient sur le chemin; on les foulait aux pieds; les femmes poussaient des cris, les enfans pleuraient, les officiers frappaient les fuyards. Au milieu de tout ce désordre, ma mère avait passé sans que je la reconnusse. Un enfant avait voulu l'arrêter et la tuer, parce qu'elle fuyait; elle rencontra M. de Marigny qui lui fit faire place; et comme son cheval était bon, elle se trouva bientôt

Tous les courtisans s'inclinaient devant le frère de la maîtresse du roi, les uns redoutaient son influence, les autres espéraient s'en servir. Un jour le marquis de Marigny disait au roi: Je ne saurais vraiment, Sire, comprendre ce qui m'arrive; je ne puis laisser tomber mon mouchoir, que vingt cordons bleus ne se baissent pour le ramasser.

La tentative de M. de Marigny rendit plus actives les recherches et la surveillance des républicains, surtout

Peu de chefs vendéens ont laissé une mémoire aussi chérie que M. de Marigny. Il avait pour le pays tant de ménagemens, et s'occupait tellement des moyens de le mettre

Au mois de février 1792, nous prîmes la résolution de partir pour émigrer. M. Bernard de Marigny nous accompagnait. C'était un parent et un ami de M. de Lescure; il était officier de marine et chevalier de Saint-Louis; il s'était distingué dans son état. C'était un fort bel homme, d'une taille élevée et d'une grande force de corps; il était gai, spirituel, loyal et brave. Jamais je n'ai vu personne aussi obligeant; il était toujours prêt