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En effet, il paraît que les bouchers font ici un singulier métier. Il y avait devant la porte une grande vilaine bête grise avec des dents terribles. Je pensais que les boeufs avaient peut-être des poils aussi longs en Californie; mais le Bruxellois me dit que c'était un ours. On mange de la viande d'ours ici! cela ne m'étonne plus que les gens soient si méchants. Vous ne serez donc pas valet de boucher, monsieur Creps; mais j'ai des postes

C'est un rire de boucher, il ne passe pas le noeud de la gorge; c'est un rire qui n'est pas franc, parce que les bouchers, tenant leur couteau entre les dents, font une grimace qui ressemble

The butcher looked for the candle it was in his hat. Gwelloc'h eo beza Kiger eget beza leue. Il vaut mieux être le boucher que le veau. Le boeuf une fois tombé, les bouchers viennent en foule. Il fait tous les matins le métier d'un boucher, car il habille un veau. Il sont comme les bouchers du Mans, ils se mettent sept sur une bête.

Ilia Brusch, après avoir gagné l'ancienne enceinte, parcourut le quartier, bouchers, tripiers et tanneurs ont leurs séchoirs, puis, tout en flânant

Devant ce puits les deux femmes, la mère et la fille, après avoir été frappées par les bouchers de Nana Sahib, avaient été précipitées, encore vivantes peut-être, sir Edward Munro ne put retenir ses larmes. Il tomba

La Révolution supprima le boeuf gras; mais Napoléon rétablit, par ordonnance, le carnaval et le boeuf gras; longtemps la police fit les frais de ces bacchanales des rues et des places; le roi des bouchers s'était changé en Amour et avait quitté sceptre et épée pour un carquois et un flambeau.

Des bouchers! Brrr!!!... Il faut l'entendre prononcer ce mot-l

Pendant le moyen âge, les bouchers de Paris sont turbulents, et on les rencontre dans tous les mouvements populaires; ils y prennent une part prépondérante, et se distinguent souvent par leurs excès; il est juste d'ajouter qu'

Les bouchers, comme bien d'autres corporations, avaient soin d'orner la chapelle de leur patron; ceux de Champagne se distinguaient tout particulièrement. On voit dans la chapelle Saint-Joseph un vitrail donné par les maîtres bouchers de Bar-sur-Seine, en 1512. Au milieu, en haut, est peint saint Barthélemy, leur patron, tenant l'instrument de son supplice. Plus bas, est représentée la promenade du boeuf gras: deux bouchers en habit de fête conduisent l'animal, et traînent chacun le bout d'une écharpe passée

N'est-elle pas légendaire au régiment, la visite de cet officiel supérieur dans les cuisines? Qui ne l'a pas vu goûter diligemment au succulent bouillon qu'on prépare pour les hommes? M. Descaves a vraiment de l'impudeur lorsqu'il vient vous raconter que sous-officiers et bouchers s'entendent comme larrons en foire pour empoisonner nos soldats avec des viandes de rebut!