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«Les Turcomans ou Turcs,» selon l'Itinéraire, «sont naturellement la nation la plus humaine et la plus compatissante du monde. Ils ne connaissent rien de plus agréable au ciel que d'accueillir un étranger et de pourvoir
L'émir Fakhr-Eddin. Le guide Hélie et le muletier Abas. Ramla. Tumulte. Les corsaires. L'émir généreux. Interrogatoire. Sage réponse du sire de Corthuy. Nazareth. La foire de Jefferkin. Ce qu'on y vendait. Les sauvages de Bruges. La mer de Galilée. Saphet et les Templiers. Le puits de la Samaritaine. Caverne de Mouchic. Hospitalité des Turcomans. Tombeaux antiques de Sibiate. Arrivée
Plaines de moins en moins désolées; des foins chamarrés de fleurs, où paissent d'innombrables moutons noirs; des blés couleur d'or, où des nomades turcomans font la moisson. Le vent n'est plus si âpre, le soleil brûle moins; nous avons dû perdre déj
Alors, sauve-qui-peut général; dans le terrier obscur du marchand de thé, on s'entasse tant qu'il y peut tenir de monde, pêle-mêle, avec les Circassiens, les Turcomans, les loqueteux. Seules les dames, par convenance, sont restées dehors. Il pleut
C'étaient deux beaux petits chevaux de race shelandaise, un peu moins grands que des ânes, mais d'une vitesse, d'une vivacité et d'une beauté de formes vraiment admirables. Corcoran félicita son ami. «J'aurais volontiers apporté dans l'île des chevaux arabes ou turcomans, répliqua Quaterquem, mais ma frégate n'est pas encore assez bien aménagée pour cela. Ç'aurait été trop d'embarras.»
Quoi qu'il en soit de ce dernier objet, les ornements découpés qui encadrent la croix (fig. 40), taillée dans sa forme traditionnelle, sont évidemment inspirés par une décoration orientale indo-tatare, sinon copiés absolument sur cette décoration qu'il ne faut pas confondre avec l'ornementation dite persane, bien qu'on trouve des éléments décoratifs de l'art persan dans les contrées où la domination tatare fut jadis établie. A Samarkand, où s'élève le tombeau de Tamerlan, le mausolée du saint Koussam-Ibni-Abassa contient des faïences de style absolument persan, mais ces décorations datent du XVIIIe siècle et ne peuvent être considérées comme appartenant aux Turcomans ou aux Tatars. Nous ne savons s'il existe
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