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Mis à jour: 17 juillet 2025


Cette scène m'emplit d'un flot subit de pitié. Tous quatre nous remontions la rue Auber; je tenais Bérénice par la main, et j'étais très occupé

Arbres de la forêt, vous connaissez mon âme! Au gré des envieux la foule loue et blâme; Vous me connaissez, vous! vous m'avez vu souvent, Seul dans vos profondeurs, regardant et rêvant. Vous le savez, la pierre court un scarabée, Une humble goutte d'eau de fleur en fleur tombée. Un nuage, un oiseau, m'occupent tout un jour. La contemplation m'emplit le coeur d'amour. Vous m'avez vu cent fois, dans la vallée obscure, Avec ces mots que dit l'esprit

À peine avais-je avalé deux gorgées qu'un arrière-goût d'amande amère m'emplit la bouche. Et, immédiatement, je me sentis tout étourdi. En même temps je remarquai que Guaita, après avoir au plus effleuré sa coupe, la posait sur le bureau. Je me hâtai d'en faire autant et je ne touchai plus

Quand le sermon suis écoutant, 4891 Par une oreille il va jetant Ce que Raison en l'autre boute, Tant qu'elle perd sa peine toute Et m'emplit d'ire et de courroux. Lors irrité: Me voulez-vous, Dame, lui dis-je, par malice Trahir? Faut-il que je haïsse Tout le monde, parce qu'Amour Me fut cruel jusqu'

Et le dédain que j'ai pour la vie usuelle, Alors que ton esprit lumineux s'est enfui, M'emplit d'un si lucide et pathétique ennui, Que le monde mystique

Ah! que le mou de votre tante était loin: Je bus aux gouttières, et jamais lait sucré ne m'avait semblé si doux. Tout me parut bon et beau. Une chatte passa, une ravissante chatte, dont la vue m'emplit d'une émotion inconnue. Mes rêves seuls m'avaient jusque-l

En été, le grand soleil m'accable. Il m'accable, il me tue! J'ai des sueurs de faiblesse et des évanouissements de pensée dans mon cerveau las! L'hiver, je suis mieux. Je cours. Cependant le gris du temps, le sec des pierres, le vent méchant, le verglas traître, l'isolement dans la rue attristée et presque vide!... Ah! cela m'emplit de mélancolie quand je sors, et je trouve la vie bien affreuse.

Oh! cette file de fiacres, chargés de malles, roulant vers les gares! cette vision de la grande cage ouverte, des oiseaux heureux prenant leur volée! cette raillerie cruelle de la liberté traversant les galères de nos rues et de nos places! ce cauchemar de tous mes printemps qui me trouble dans mon cachot, qui m'emplit du désir inassouvi des feuillages et des cieux libres!

Que vient-on rallumer sans cesse Dans l'ombre qui m'emplit le coeur? Vous qui me parlez, vous me dites Qu'il faut, rappelant ma raison, Guider les foules décrépites Vers les lueurs de l'horizon; Qu'

Ne me touchez pas! cria-t-elle en reculant. Je ne veux pas.... Quand vous me tenez, je suis faible comme un enfant. La chaleur de vos mains m'emplit de lâcheté.... Ce serait

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