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Je me souviens encore de cette musique que nous jouait Moussorgsky et de la pédale d'une longueur inouïe sur la note de ce que Stassov s'était chargé d'exécuter, et dont il était ravi. Quand, plus tard, Moussorgsky écrivit l'intermezzo sous forme d'une ébauche de piano avec chants, il supprima cette interminable pédale, au grand chagrin de Stassov.

Mais bien une analyse critique de votre sonate. Le premier morceau est bien. L'Andante est très beau. L'Intermezzo est un morceau complet, DIGNE D'UN MA

Cette musique avait servi, avec quelques modifications pour la scène de Tchernobog, dans Mlada. Cette fois, la scène, avec l'adjonction du tableautin du lever de l'aurore, devait comprendre l'intermezzo projeté et devait être introduite malgré tout dans la Foire de Sorotchinetz.

En somme, l'opéra fut écrit pour des voix exactement définies et favorables au chant. L'orchestration et l'accompagnement ont partout de l'intérêt et produisent un grand effet, bien que je mettais toujours les voix au premier plan et que la composition de l'orchestre était ordinaire. Il suffit d'indiquer l'intermezzo orchestrale, la scène de Lubacha avec Boméli, l'entrée du tzar Ivan, le sextuor, etc. Je décidai de laisser le chant de Lubacha au Ier acte sans accompagnement, sauf les accords intermédiaires entre les couplets, ce qui faisait assez peur aux cantatrices qui craignaient de s'éloigner du ton. Mais leur crainte fut injustifiée: la «tessiture» de la mélodie de l'ordre éolien en «sol minfut choisie de telle façon que,