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Mis à jour: 4 mai 2025
Et l'on comprendrait mon émoi, Si l'on savait ce qu'est pour moi Un peu de l'Hellade infinie; Car, sur ce rivage humble et long, Dans ce calme et morne désastre, Le vent des flûtes d'Apollon Passe entre mon coeur et les astres! Rien ne vient
O coeur oisif! O rêve chéri de l'Hellade! Avant qu'il fût longtemps, les vibrations croissantes et décroissantes, aux sons mélancoliques des carillons du soir, la cloche qui sonnait les vêpres dans un couvent, vinrent frapper mon oreille parmi ces fleurs d'amour.
Le vent bleu, sur la pierre blanche, De ses beaux bras audacieux Trempés dans le parfum des branches, Etale ton nom sous les cieux! La musique glissante ou vive Baigne et soulève tes pipeaux Comme un fleuve franchit sa rive Et s'étend parmi les roseaux... Ainsi nous recherchions l'Histoire, L'Hellade avec ses temples roux, Quand c'est toi, la Nef, la Victoire, Et le Grec béni de chez nous!
La population de l'Hellade tout entière se passionnait pour les jeux célébrés en grande pompe
Il peut même se faire qu'en ce moment un moine de l'Athos ait les yeux fixés sur un ancien manuscrit dont les caractères recroquevillés cachent une œuvre lyrique ou une ode de celle que les Grecs appelaient la Poétesse, tout comme ils désignaient Homère par les mots: «le Poète», celle qui était pour eux la Dixième Muse, la fleur des Grâces, l'enfant d'Eros, et l'orgueil de l'Hellade, Sapho
Les athlètes devaient exceller dans cinq exercices: saut, lutte, course, lancement du disque et du javelot, qui, mettant en action tous les muscles, prévenaient la déformation du corps. L'Hellade, patrie du beau, avait le culte inné de la beauté corporelle. L'éducation physique, basée sur les principes de la thérapeutique, développait la souplesse et la grâce autant que la force. Ce peuple, merveilleusement artiste, qui plaçait ses jeux sous l'égide de Vénus et d'Apollon, éleva le sport
Quoi qu'il en soit, Athènes par son théâtre, autant que par sa tribune, était l'institutrice de l'Hellade, comme par ses marchés et ses ports, elle en était la cité nourricière. Il n'existait pas dans le monde un plus grand marché de céréales que le Pirée, ni une lumière intellectuelle plus éclatante que celle de la tribune et du théâtre Attiques .
Toutefois il importe de remarquer que cette scène et cette comédie tout entière sont plutôt indécentes qu'immorales, ou du moins ne sont immorales que par l'indécence: Le but général de la pièce est honnête, ne l'oublions pas; l'idée fondamentale en est morale et vraie: n'était-ce pas un regret légitime que celui des douceurs du foyer domestique et des joies intimes de la vie de famille, sans cesse troublées et interrompues par cette guerre qui désolait toute l'Hellade? «Plus d'amour, partant plus de joie!» Cette comédie est donc,
Mais si le cheval était l'animal solaire diurne, le cygne était celui qui tirait la barque de la divinité sur les flots; et si jusqu'ici l'image du cygne remorquant l'esquif n'a pas été rencontrée, du moins la figuration du cygne se trouve-t-elle abondamment représentée dans nos pays, dans le nord de l'Italie et l'Europe centrale, ainsi que dans les pays Scandinaves eux-mêmes, depuis les temps de l'industrie du bronze dans ces pays jusqu'aux siècles du fer, voisins des débuts de la période historique. De telle sorte que, si nous nous en rapportons aux évaluations des préhistoriens les plus compétents, le culte du soleil aurait été en honneur dans toute l'Europe pendant un millénaire et demi, pour le moins; il était répandu dans toute l'Hellade, en
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