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Je l'ignorais alors, mais je l'appris en assez peu de temps... Je fus introduit dans une certaine pièce sur la porte de laquelle j'avais lu le nom de l'officier en charge, le lieutenant Arnim. Je prie le lecteur de croire que je n'oublierai jamais ce nom, pas plus que le personnage qui le portait.

Je ne connaissais personne; je finis par être invité chez M. Marais, avoué, rue Neuve, un vrai patriote. Il m'offrit mon couvert chez lui; il poursuivait un procès au nom de mon frère contre ma famille qui nous avait dépouillés d'un peu de biens du côté de notre mère. C'était le beau-père de M. Marais qui avait entamé le maudit procès qui dura dix-sept ans. Je ne l'appris qu'

«Je l'ai aimé, oh! tant aimé! Il était si beau, si charmant. Jamais je ne verrai un tel homme: des yeux, une bouche! et puis un si beau nez! C'était un juif, vous savez.» «Je ne l'avais jamais su et je l'appris peut-être avec une légère surprise. «C'était bien fait, n'est-ce pas? Moi qui suis baptiste, vous savez. On m'a expulsée de la congrégation, je le sais bien. Mais je ne m'en souciais bien

Il y eut soudain une violente rafale suivie bientôt d'un claquement sinistre. Le vent, comme je l'appris, quelques instants plus tard, venait de déchirer un hunier que l'on n'avait pas eu le temps de carguer, et la voile en lambeaux battait maintenant dans l'espace, comme un énorme pavillon «fouettant» au bout de sa drisse.

Je n'avais jamais su pourquoi; je l'appris en le suivant. Il était engagé dans de grandes entreprises de canalisation agricole en Lombardie, et il avait

Rouletabille s'était conduit d'une façon atroce pour cette femme qui avait cru son enfant mort, qui l'avait pleuré désespérément, comme je l'appris plus tard, et qui goûtait enfin, au milieu de malheurs incomparables,

À une table voisine de celle je dînais, dînaient aussi deux dames, ou plutôt, comme je l'appris par la suite, deux jeunes filles, dont une vieille. Ou même, pour être plus précis, une miss et une demoiselle. La miss était Américaine, jeune et très gentille. La demoiselle était Française, entre deux âges, et plutôt vilaine.

Ces trois Anglais, comme je l'appris aussitôt, étaient M. Robinson, un jockey qui vivait en Allemagne depuis de nombreuses années, et qui parlait parfaitement l'allemand; M. Aaron, Anglais naturalisé, Sémite d'origine tout probablement, et courtier de profession, en Autriche, et qui habitait Berlin lors de la déclaration de la guerre.

Quelques jours après, j'allai voir Merton dont le marchand d'estampes m'avait donné l'adresse. Je trouvai un jeune homme pâle, intéressant, avec une femme de mine assez banale, un modèle, ainsi que je l'appris par la suite. Je lui dis combien j'avais admiré ses dessins, ce qui me parut lui être très agréable, et je lui demandai s'il pourrait me montrer quelque autre de ses oeuvres.

Ne sachant pas jusqu'alors ce que c'était que d'être amoureux, je l'appris immédiatement par cette phrase et me livrai