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Le messager envoyé pour annoncer la mort de l'Abouna
Au mois de février 1865, un Cophte, Abdul Melak, se présenta an consulat de Jeddah, prétendant arriver d'Abyssinie porteur d'un message de l'Abouna an consul général anglais en Egypte. Il affirmait que s'il obtenait du consul général une déclaration par laquelle on s'engagerait, si l'empereur relâchait les prisonniers,
L'Abouna Salama était, sous certains rapports, un homme remarquable. Deux caractères comme le sien et celui de Théodoros se rencontrent rarement
Mort de l'Abouna Salama. Esquisse de sa vie. Griefs de Théodoros contre lui. Son emprisonnement
Pendant la campagne de Lij-Kassa contre le gouverneur de Godjam, et pendant la période de révolution qui se termina par la chute de Ras-Ali, l'Abouna Salama se retira dans ses propriétés du Tigré, vivant l
L'Abouna Salama perdit de son crédit, quoique probablement bien peu de personnes ajoutassent foi aux récits de l'empereur. D'après le proverbe, «Calomnions, il en restera toujours quelque chose,» le caractère de l'Abouna perdit de sa dignité, et désormais, il ne compta ses amis que dans le camp des ennemis du roi, tandis que ses ennemis
Le 25 octobre, l'Abouna Salama, l'évêque d'Abyssinie, mourut après une longue et douloureuse maladie.
Trompé dans son ambition, privé de ses biens, humilié, sans pouvoir, sans liberté, l'Abouna Salama succomba
Théodoros, en nous racontant ses ennuis un jour sur le chemin d'Agau-Medar, nous parla du sujet de leur malentendu avec l'Abouna. Il nous dit que leur querelle venait de ce qu'un jour qu'il avait invité ses officiers
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