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Mis à jour: 29 mai 2025
Dans les livres d'Edgar Poe, le style est serré, concaténé; la mauvaise volonté du lecteur ou sa paresse ne pourront pas passer
Trouvé ici une cuvette originale, peut-être impossible: un vieux bassin de cuivre ancien, en bon état qui bien écuré et nettoyé serait d'un joli ton jaune Trouvé des ciseaux. Mon écriture est-elle lisible J'écris dans le jardin de la vieille maison, l'intérieur étant trop mélancolisant avec ses volets clos, l'odeur de moisi. Une machine dont on héritera peut-être; bon pour un conte d'Edgar Poe.
Eureka était sans doute le livre chéri et longtemps rêvé d'Edgar Poe. Je ne puis en rendre compte ici d'une manière précise. C'est un livre qui demande un article particulier. Quiconque a lu la Révélation magnétique connaît les tendances métaphysiques de notre auteur. Eureka prétend développer le procédé, et démontrer la loi suivant laquelle l'univers a revêtu sa forme actuelle visible, et trouve sa présente organisation, et aussi comment cette même loi, qui fut l'origine de la création, sera le moyen de sa destruction et de l'absorption définitive du monde. On comprendra facilement pourquoi je ne veux pas m'engager
Le roi Lear de Shakspeare fut joué pour la première fois en 1606, au moment de Noël. La première édition est de 1608, et porte ce titre: «Véritable Chronique et Histoire de la Vie et de la Mort du Roi Lear et de ses Trois Filles, par M. William Shakspeare. Avec la Vie infortunée d'Edgar, Fils et Héritier du Comte de Glocester, et son Déguisement sous le nom de Tom de Bedlam: Comme elle a été jouée devant la Majesté du Roi,
Jean est mort pour la vérité; de même Elfeg pour la justice; tous deux pareillement pour Christ, qui est la justice et la vérité.» C'est Anselme qui contribua le plus au mariage d'Henri Beauclerc avec la nièce d'Edgar, dernier héritier de la royauté saxonne; cette union de deux races dut préparer, quoi qu'on ait dit, la réhabilitation des vaincus.
De pareilles compositions étaient trop hardies pour plaire tout d'abord. Les acheteurs furent si peu nombreux que l'éditeur s'abstint pour longtemps, après l'avoir annoncée, de publier une nouvelle oeuvre d'Edgar Poe, la Cité en la Mer, que Mallarmé et Manet avaient également traduite et illustrée de concert.
La moitié de la jeune littérature le reconnaissait comme son maître et presque tous avaient été touchés de son influence. Il y avait dans son œuvre des pages d'une magnificence et d'une pureté de langue incomparables. Vraiment il donnait l'impression des deux âmes de Gœthe et d'Edgar Poe fondues en une seule et logées dans le même être.
Par exemple! protestai-je, moi! me fâcher! allons donc! Il avait toujours ce diable de sourire des princes qui rendent compte dans les journaux. Je dis très bien, répéta-t-il, comme je le pense. L'histoire a de l'originalité. Tu l'as faite avec quelques réminiscences d'Edgar Poe.... Je te jure... m'écriai-je.
C'est d'Edgar que William tenait cette méthode incomparable de lustrer ses chapeaux... Une fois, aux courses d'Auteuil, Edgar fut abordé par le jeune marquis de Plérin. Voyons, Edgar, supplia le marquis... comment obtenez-vous vos chapeaux?...
Je crois tout de même que le gros cocher avait raison. William me parlait souvent d'Edgar, le célèbre piqueur du baron de Borgsheim. Il était fier de le connaître, l'admirait presque autant que Cassagnac.
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