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Mis à jour: 17 juin 2025
Les institutions et les coutumes communistes s'imposent
Les chapitres suivants ne sont pour ainsi dire que le développement de cette espèce d'introduction. M. Louis Reybaud analyse et critique successivement les systèmes des principaux socialistes contemporains. Son second chapitre est consacré aux idées et aux sectes communistes, le troisième aux Chartistes, le quatrième
Communistes sans le savoir, les Inoïts n'ont que les rudiments de la propriété privée qu'ils savent pourtant si bien respecter. Vivant en des plaines de neige, vaquant en compagnie
Considérons encore la question de savoir si des socialistes révolutionnaires et des anarchistes communistes peuvent marcher ensemble. Nous nous en tenons aux termes employés habituellement, quoique nous estimions que communisme et anarchisme sont des conceptions qui s'excluent l'une l'autre. Kropotkine, au contraire, dit dans son beau livre La Conquête du pain, p. 31, que «l'anarchie mène au communisme et le communisme
Bah! répliqua Popiel, si l'on ne s'occupait pas de ces puérilités, comment passerait-on le temps? Moi, j'arrange tout dans ma pensée selon le modèle de communisme que nous donnent les paysans russes. Notez que l'esprit du peuple slave est d'accord avec l'idéal des communistes français. Proudhon est mon homme, voyez-vous! Tout notre espoir doit être dans le communisme dirigé par l'
Cet homme était un enfant naturel sans doute, mis autrefois en nourrice dans le pays, puis abandonné. Il n'avait pas d'autre nom que Georges Louis, mais comme, en grandissant, il devint singulièrement intelligent, avec des goûts et des délicatesses natives que n'avaient point ses camarades, on le surnomma «le bourgeois», et on ne l'appelait plus autrement. Il passait pour remarquablement adroit dans le métier de menuisier qu'il avait adopté. Il faisait même un peu de sculpture sur bois. On le disait aussi fort exalté, partisan des doctrines communistes et nihilistes, grand liseur de romans
Peu de temps avant le congrès de Londres, le Labour Leader publia un article de Malatesta dans lequel celui-ci disait: «Nous, les communistes ou les collectivistes anarchistes, nous voulons l'abolition de tous les monopoles; nous désirons l'abolition des classes, la fin de toute domination et exploitation de l'homme par l'homme; nous voulons que le sol et tous les moyens de production, comme aussi les richesses accumulées par le travail des générations du passé, deviennent la propriété commune de l'humanité par l'expropriation des possesseurs actuels, de manière que les ouvriers puissent obtenir le produit intégral de leur travail, soit par le communisme absolu, soit en recevant chacun selon ses forces.
Dans un excellent traité sur l'industrie chevaline, écrit avec une clarté remarquable, et rempli de vues historiques ingénieuses et intéressantes, M. d'Aure a vu en grand et traité en maître cette question de l'amélioration des races que nous résumerions, nous, communistes, dans les termes suivants: «Socialisation d'un des instruments du travail de l'homme.» On ne niera pas que le cheval ne soit un de ces instruments de travail qu'aucune machine n'est de longtemps appelée
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